Exercices Auteur: Inuk, Mise à jour : 16 décembre 2024
Avant de parler dâexercice en tant que tel, parlons de sujet reliĂ©s pour nous mettre en contexte!
L’oxyde nitrique (NO) : On en veut pour exĂ©cuter des fonctions essentielle mais aprĂšs on veut lâĂ©liminer rapidement pour obtenir ensuite la dose toute neuve.
Lâoxyde nitrique est une molĂ©cule gazeuse essentielle pour de nombreuses fonctions dans le corps. Elle est produite naturellement par les cellules endothĂ©liales qui tapissent les parois internes des vaisseaux sanguins. Lâenzyme endothĂ©liale synthase de lâoxyde nitrique (eNOS) convertit lâacide aminĂ© L-arginine en oxyde nitrique. Voici quelques-unes de ses principales fonctions dans le corps :
Vasodilatation : L’une des fonctions principales de l’oxyde nitrique est d’induire la relaxation des muscles lisses qui entourent les vaisseaux sanguins. Cela provoque la dilatation des vaisseaux sanguins, ce qui augmente le flux sanguin. La vasodilatation est essentielle pour maintenir une pression sanguine adĂ©quate et assurer une distribution efficace de l’oxygĂšne et des nutriments Ă travers tout le corps.
RĂ©gulation de la pression artĂ©rielle : En dilatant les vaisseaux sanguins, l’oxyde nitrique contribue Ă rĂ©guler la pression artĂ©rielle. Une production insuffisante d’oxyde nitrique peut contribuer Ă l’hypertension artĂ©rielle.
PrĂ©vention de la formation de caillots : L’oxyde nitrique empĂȘche les plaquettes sanguines de s’agrĂ©ger et de former des caillots, ce qui rĂ©duit le risque de thrombose (formation de caillots sanguins dans les vaisseaux).
Fonction immunitaire : L’oxyde nitrique joue un rĂŽle dans la rĂ©ponse immunitaire du corps en aidant Ă dĂ©truire les bactĂ©ries, les virus et les cellules cancĂ©reuses.
Neurotransmission : Dans le systĂšme nerveux, l’oxyde nitrique agit comme un neurotransmetteur, transmettant des signaux entre les cellules nerveuses. Il est impliquĂ© dans la rĂ©gulation de l’humeur, du sommeil et de la cognition.
Ărection : Dans le contexte de la fonction sexuelle masculine, l’oxyde nitrique est crucial. Il dĂ©tend les muscles dans les parois des artĂšres qui alimentent le pĂ©nis en sang, favorisant ainsi l’Ă©rection.
MĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique : L’oxyde nitrique influence la production d’ATP, la principale source d’Ă©nergie cellulaire.
Fonction respiratoire : Il joue également un rÎle dans la régulation du tonus des muscles lisses des voies respiratoires, influençant ainsi le diamÚtre des bronches et des bronchioles.
Son rÎle dans le corps est trÚs varié et a un impact trÚs significatif sur la longévité et la santé globale.
Mais âŠ
L’oxyde nitrique est une molĂ©cule instable qui se dĂ©grade rapidement dans le sang, il doit donc ĂȘtre constamment renouvelĂ©.
EtâŠ
L’oxyde nitrique (NO) doit ĂȘtre rĂ©gulĂ© par le corps. une fois qu’il a rempli sa fonction, il est dĂ©composĂ© et Ă©liminĂ© pour Ă©viter une accumulation excessive qui peut provoquer des dommages cellulaires. Une rĂ©gulation appropriĂ©e du NO est cruciale pour maintenir l’Ă©quilibre des processus biologiques. Le corps rĂ©gule naturellement l’oxyde nitrique pour maintenir son Ă©quilibre.
Pour obtenir le plus possible des bienfait du NO on peut aider au processus en adoptant un mode de vie et une alimentation en ce sens.
Quand on dit que les cellules de lâintĂ©rieur des vaisseaux sanguin produisent le NO et que ce fameux NO exĂ©cute une fonctionne trĂšs important dans la guĂ©rison du cancer : voici la phrase Ă retenir :
Fonction immunitaire : L’oxyde nitrique joue un rĂŽle dans la rĂ©ponse immunitaire du corps en aidant Ă dĂ©truire les bactĂ©ries, les virus et les cellules cancĂ©reuses.
On peut aider ces cellules à leurs productions de différentes maniÚres, en voici deux! :
- Utilisez des supplĂ©ments stimulant l’oxyde nitrique
- L-arginine
- L-citrulline
- L’exercice!
L’exercice augmente la production d’oxyde nitrique dans le corps. Pendant l’exercice, en particulier l’exercice aĂ©robie (comme la course Ă pied, le vĂ©lo, etc.), l’oxyde nitrique est libĂ©rĂ© par les cellules endothĂ©liales qui tapissent les parois des vaisseaux sanguins. Cela entraĂźne une vasodilatation, c’est-Ă -dire une augmentation du diamĂštre des vaisseaux sanguins. L’augmentation de la production de NO pendant l’exercice contribue Ă l’augmentation du flux sanguin vers les muscles en action, ce qui permet de fournir davantage d’oxygĂšne et de nutriments essentiels aux muscles pour soutenir l’effort et la performance physique. Ce qui est, de plus, important pour la rĂ©cupĂ©ration aprĂšs l’exercice.
L’exercice maintient la santĂ© de vos cellules endothĂ©liales de vos vaisseaux sanguins : LE SYSTĂME VASCULAIRE CIRCULATOIRE EST LE PLUS IMPORTANT CAR CâEST LUI QUI APPORTE LâOXYGĂNE A NOS MITOCHONDRIES!
LâEXERCICE :
- Renforce l’immunitĂ©!
- Augmente la production de BDNF! : engrais pour le cerveau*
- Augmente la capacité des mitochondries (PCG1-Alpha)! Respiration Cellulaire! **
- Ălimine beaucoup de stress !
- Entraine une augmentation de l’hormone de croissance (HGH) Human Growth Hormone ***
- Aide dans le processus de rétention de calcium
- Aide dans le processus de la conversion de T4 en T3, tout le systĂšme endocrinien en profites
- Augmente la production dâoxyde nitrique (NO) dans le corps (comme vu plus haut)
- Augmente l’activitĂ© antioxydante, de dĂ©gradation des radicaux libre et de lâinflammation
- Pi plusieurs autres affairesâŠ
Quand on parle dâexercice on parle de :
- LâintensitĂ©
- La durée
- La récupération
- La fréquence
L’intensitĂ© : Câest ça que lâon veut! squat rapide avec les bras en l’air !
Faire de lâexercice avec une intensitĂ© assez forte pour nous rendre Ă bout de souffle pendant 5-8 minutes. Câest dans lâintensitĂ© que la libĂ©ration de NO se fait le mieux. Quand on effectue une exercice et que lâon vient Ă bout de souffle, câest lĂ que ça fonctionne⊠câest lĂ que lâentraine la libĂ©ration dâune bonne dose d’oxyde nitrique.
DurĂ©e : Un 20-40 minutes dĂ©pendant lâexercice choisit incluant une montĂ© en intensitĂ© câest parfait. si lâexercice est fait sur une trop longue pĂ©riode cela augmentera la production de cortisol⊠(moins bon mais on ne sâempĂȘche pas de temps en temps dâeffectuer des exercices qui sont plus long comme monter une montagne ou partir pour un bon jogging). Une chose importante Ă retenir câest que les humains sont construits pour bouger tout le temps. Ce nâest pas comme dire que 20 minutes dâexercice pi aprĂšs je bouge pu ou quasiment pu le restant de la journĂ©e. Ce nâest pas comme cela que ça marche. Le 20 minutes est un moment dâexercice plus intense mais le restant de la journĂ©e doit absolument contenir autre chose, soit marcher pour aller quelque part. monter des escaliers pour aller quelque part, travailler dans la cour, ramasser des feuilles, avoir un travail qui fait bouger aulieu dâun travail assis, travailler dans le jardin etc.
RĂ©cupĂ©ration : Meilleur rĂ©cupĂ©ration sâil y a libĂ©ration dâoxyde nitrique (IntensitĂ©), boire beaucoup dâeau qui contient les Ă©lectrolytes : magnĂ©sium, calcium, potassium, sodium.
FrĂ©quence : 3 fois 20 minutes par jours et3 fois par semaine quâil faut
Pour des rĂ©sultats optimaux : combinez l’entraĂźnement aĂ©robie, comme la marche, la marche rapide ou la course Ă pied, avec l’entraĂźnement anaĂ©robie, comme la musculation Retenez que si le temps manque, ce sont les exercices de rĂ©sistance (musculation) qui sont les plus favorable sur le long terme pour garder la forme. Voir plus loin dans le texte. Les types d’exercice que vous choisissez devraient ĂȘtre des activitĂ©s que vous apprĂ©ciez et que vous pouvez pratiquer au fil des ans.
Il est trĂšs important de faires des exercices pour la rĂ©paration du cancer. Mais dĂ©pendamment de notre degrĂ© de vitalitĂ©, il est important de ne pas sâĂ©puiser pour bien guĂ©rir et il est aussi important de bien bouger pour bien guĂ©rir.
Garder en mĂ©moire que le NO et le HGH etc. sont libĂ©rer dans lâintensitĂ©.
*BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor) est une protéine essentielle dans le cerveau qui joue un rÎle crucial dans la croissance, le développement et la survie des neurones.
BDNF agit comme un facteur de croissance pour les neurones, ce qui signifie qu’il favorise la croissance, la diffĂ©renciation et la survie des neurones. Il joue un rĂŽle clĂ© dans la plasticitĂ© cĂ©rĂ©brale, qui est la capacitĂ© du cerveau Ă s’adapter, Ă apprendre de nouvelles choses et Ă former de nouvelles connexions synaptiques.
L’augmentation des niveaux de BDNF est associĂ©e Ă de nombreux avantages pour le cerveau, notamment :
AmĂ©lioration de la mĂ©moire et de l’apprentissage : favorise la formation de nouvelles connexions synaptiques, ce qui amĂ©liore la capacitĂ© d’apprentissage et la mĂ©moire.
RĂ©duction du risque de troubles neurodĂ©gĂ©nĂ©ratifs : Des niveaux adĂ©quats de BDNF sont associĂ©s Ă un risque rĂ©duit de troubles tels que la maladie d’Alzheimer et de Parkinson.
RĂ©gulation de l’humeur
Promotion de la croissance et de la survie des neurones : aide les neurones à survivre et à croßtre, ce qui est essentiel pour la santé cérébrale globale.
Récupération aprÚs des lésions cérébrales : impliqué dans la régénération des neurones aprÚs des lésions cérébrales.
Il est souvent qualifiĂ© d'”engrais pour le cerveau” en raison de son rĂŽle de soutien Ă la santĂ© et Ă la plasticitĂ© du cerveau. L’exercice, le sommeil de qualitĂ©, une alimentation saine, la mĂ©ditation et d’autres facteurs de style de vie peuvent contribuer Ă augmenter les niveaux de BDNF dans le cerveau, ce qui peut ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour la cognition et la santĂ© mentale.
**PCG1-Alpha (Peroxisome Proliferator-Activated Receptor Gamma Coactivator 1-Alpha):
Protéine essentielle pour la régulation de processus biologiques.
RĂŽles de PCG1-Alpha :
RĂ©gulation du mĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique : Stimule la production d’ATP (Ă©nergie cellulaire) en favorisant la biogenĂšse mitochondriale.
ThermogenÚse : Joue un rÎle dans la production et régulation de chaleur corporelle.
MĂ©tabolisme des sucres : Influe sur la glycĂ©mie et la sensibilitĂ© Ă l’insuline.
RĂ©ponse aux stress environnementaux : Aide les cellules Ă s’adapter au froid, Ă l’exercice, au jeĂ»ne, Ă l’hypoxie, etc.
BiogenÚse mitochondriale : Stimule la formation de nouvelles mitochondries pour répondre aux besoins énergétiques.
Importance de PCG1-Alpha :
Essentiel pour la santĂ© mĂ©tabolique, la rĂ©gulation de la tempĂ©rature corporelle et la production d’Ă©nergie cellulaire.
Facteurs influençant PCG1-Alpha :
ActivitĂ© physique, jeĂ»ne, froid et autres stimuli environnementaux peuvent influencer l’activitĂ© de PCG1-Alpha.
PCG1-Alpha est une protĂ©ine cruciale pour le fonctionnement Ă©nergĂ©tique des cellules, la rĂ©gulation mĂ©tabolique et l’adaptation aux changements environnementaux, et son activitĂ© peut ĂȘtre modulĂ©e par divers facteurs, notamment l’exercice et les variations de tempĂ©rature.

***L’hormone de croissance, souvent abrĂ©gĂ©e en HGH (Human Growth Hormone) en anglais, est une hormone produite par la glande pituitaire, une petite glande situĂ©e Ă la base du cerveau. L’HGH joue un rĂŽle essentiel dans la croissance et le dĂ©veloppement du corps humain, en particulier pendant l’enfance et l’adolescence.
Voici quelques-unes des fonctions clĂ©s de l’hormone de croissance (HGH) dans le corps :
Stimulation de la croissance : Pendant l’enfance et l’adolescence, l’HGH favorise la croissance en stimulant la division et la multiplication des cellules, en particulier des cellules osseuses.
RĂ©gulation du mĂ©tabolisme : L’HGH joue un rĂŽle dans le mĂ©tabolisme des glucides, des graisses et des protĂ©ines. Elle favorise la dĂ©gradation des graisses et l’utilisation des acides gras comme source d’Ă©nergie, contribuant ainsi Ă la perte de poids.
Maintien de la masse musculaire : L’HGH aide Ă maintenir la masse musculaire et favorise la synthĂšse des protĂ©ines musculaires.
Renforcement du systÚme immunitaire : Elle stimule le systÚme immunitaire en favorisant la production de globules blancs, contribuant ainsi à la défense contre les infections.
RĂŽle dans la rĂ©gulation de la croissance cellulaire : L’HGH est impliquĂ©e dans la rĂ©gulation de la croissance et de la division cellulaires.
Soutien à la santé des os : Elle contribue à la santé osseuse en favorisant la minéralisation des os.
Favorisation de la rĂ©cupĂ©ration et de la rĂ©paration des tissus : L’HGH joue un rĂŽle dans la rĂ©gĂ©nĂ©ration des cellules et la rĂ©paration des tissus.
Il est important de noter que la production d’HGH diminue naturellement avec l’Ăąge. Les niveaux d’HGH sont plus Ă©levĂ©s pendant l’enfance et l’adolescence, atteignent un pic Ă la fin de l’adolescence, puis commencent Ă diminuer progressivement. Alors câest lĂ que lâexercice qui augmente la production de HGH vient encore jouer un rĂŽle crucial tout au long du restant de notre vie.
Comment fonctionne l’Ă©nergie dans le corps !
10 % du poids corporel dâun humain ce sont des mitochondries !
Chaque cellule contient plusieurs milliers de mitochondries qui sont comment nos petites batteries dâĂ©nergie cellulaire.
Les mitochondrie font le cycle de Krebs, câest comme leur petit chemin quâils prennent et quâils tournent dedans pour produire leur Ă©nergie ATP dont la cellules a besoin pour vivre. Le cycle de Krebs a besoin dâoxygĂšne et dâune source de fuel pour construire les molĂ©cules dâATP!
Il y a deux source de fuel pour faire de lâĂ©nergie : le glucose et les acides gras.
Il y a certains choix de production dâATP pendant quâelle tourne dans son cycle de Krebs :
- 2 ATP (Glucose + anaérobique) (plus rapide)
- 36 ATP (Glucose + aérobique) (plus rapide)
- 114 ATP (Acide Gras + Aérobique) (moins rapide, mais dure longtemps !)
On voit bien que dans le cycle aĂ©robique (avec en masse dâoxygĂšne) la mitochondrie peut produire BEAUCOUP plus dâoxygĂšne Ă chaque tour! 16 FOIS PLUS !!! En mode Glucose.
La prĂ©sence d’oxygĂšne est l’absence de maladie!
LE DIOXYDE DE CARBONE : LE VASODILATATEUR QUI PERMET LâĂCHANGE DâOXYGĂNE !!!
The Oxygen Advantage de Patrick McKeown explore comment des techniques de respiration spĂ©cifiques peuvent amĂ©liorer les performances sportives, la santĂ© et le bien-ĂȘtre gĂ©nĂ©ral en optimisant l’utilisation de l’oxygĂšne. McKeown, un expert en respiration, combine les connaissances de la mĂ©thode Buteyko avec ses propres recherches pour introduire des exercices qui amĂ©liorent l’efficacitĂ© respiratoire, qui peuvent augmenter l’endurance, rĂ©duire l’anxiĂ©tĂ© et amĂ©liorer la qualitĂ© du sommeil.
Le livre se concentre sur le concept selon lequel la plupart des gens respirent trop, ce qui entraĂźne une mauvaise absorption de l’oxygĂšne. En pratiquant des exercices d’apnĂ©e et en apprenant Ă respirer plus lĂ©gĂšrement et plus lentement, les individus peuvent augmenter la consommation d’oxygĂšne de leur corps, ce qui entraĂźne des avantages physiologiques tels qu’une meilleure endurance, une concentration accrue et un systĂšme respiratoire plus efficace. McKeown souligne l’importance de la respiration nasale plutĂŽt que de la respiration buccale pour ces amĂ©liorations et explique comment elle peut bĂ©nĂ©ficier Ă la fois aux athlĂštes et Ă la population en gĂ©nĂ©ral.
Le livre est Ă la fois pĂ©dagogique et scientifique, avec des chapitres couvrant la science derriĂšre l’efficacitĂ© de l’oxygĂšne, des techniques dĂ©taillĂ©es pour s’entraĂźner Ă une meilleure respiration et des conseils pratiques pour intĂ©grer ces habitudes dans la vie quotidienne et les entraĂźnements. Il vise Ă aider les gens Ă dĂ©velopper leur rĂ©silience, Ă amĂ©liorer leur santĂ© cardiovasculaire et Ă optimiser les systĂšmes Ă©nergĂ©tiques de leur corps sans avoir recours Ă des programmes dâexercices plus intenses.
On veut que le dioxyde de carbone s’accumule !
Le COâ est la porte qui permet Ă lâoxygĂšne dâatteindre nos muscles ! Si la porte nâest que partiellement ouverte, seule une partie de lâoxygĂšne dont nous disposons passe. Lorsque nous respirons au-delĂ de ce dont nous avons besoin, trop de COâ est Ă©liminĂ© du sang, ce qui force la porte Ă se fermer davantage !!
Alors il faut respirer moins et on peut habituer notre corps Ă faire ainsi que retenant notre souffle.
On prendre plusieurs respirations normales mais bien remplis Ă partir du diaphragme assez rapidement puis on retient notre souffle pendant quelques secondes
- On peut commencer avec 3 séries de 5 respirations ou on retient pendant 20 secondes
- Puis 3 séries de 10 respirations ou on retient pendant 30 secondes
- Puis 3 séries de 15 respirations ou on retient pendant 60 secondes
- Pour se rendre environ à 3 séries de 20 respirations ou on retient pendant 120 secondes
Le dioxyde de carbone (COâ) contribue Ă la dilatation des vaisseaux sanguins, mais ce nâest pas un vasodilatateur aussi direct que lâoxyde nitrique. Son effet consiste Ă rĂ©guler la ventilation et augmenter le flux sanguin en rĂ©ponse Ă la concentration de COâ. Un meilleur flux sanguin feras grandir et construire les veines, les artĂšres et les capillaires, apportera plus dâoxygĂšne aux cellules et permettra aux mitochondries de produire leurs 36 ATP!
PLUS DâOXYGĂNE POUR ĂTRE PLUS HEUREUX
L’Ă©tat oxydatif amĂ©liore votre humeur car toutes les bonnes Ă©motions comme le bonheur, la passion, la joie, l’excitation, sont des neurotransmetteurs constituĂ©s d’oxygĂšne, des liaisons oxygĂšnes sont nĂ©cessaires pour les fabriquer !!!! Au contraire, la colĂšre, le dĂ©sespoir, la jalousie, le ressentiment, nâont pas de liens oxygĂšne ! Les bonnes Ă©motions sont rĂ©servĂ©es aux personnes ayant des Ă©tats oxydatifs Ă©levĂ©s !
Pour Ă©liminer lâaccumulation dâacide lactique
Pour Ă©liminer rapidement lâaccumulation dâacide lactique dans vos muscles, vous pouvez essayer une combinaison de rĂ©cupĂ©ration active, dâhydratation et dâĂ©tirements doux. Voici quelques conseils :
RĂ©cupĂ©ration active : des exercices lĂ©gers, comme la marche, le vĂ©lo ou le yoga, peuvent aider Ă maintenir la circulation sanguine, ce qui aide Ă transporter l’acide lactique et d’autres sous-produits mĂ©taboliques hors des muscles. Visez une activitĂ© de faible intensitĂ© pour Ă©viter une accumulation supplĂ©mentaire dâacide lactique.
Hydratation : Rester bien hydratĂ© peut aider Ă Ă©liminer plus rapidement lâacide lactique de votre systĂšme. L’eau aide Ă Ă©liminer les toxines et l’acide lactique des muscles tout en favorisant le fonctionnement normal des cellules.
Ătirement et roulement de mousse : des Ă©tirements doux et un roulement de mousse aprĂšs l’exercice peuvent soulager les tensions musculaires, favoriser la circulation sanguine et aider Ă accĂ©lĂ©rer l’Ă©limination de l’acide lactique.
ThĂ©rapie par la chaleur ou la glace : L’alternance de la thĂ©rapie par la chaleur et la glace peut Ă©galement faciliter la circulation sanguine, rĂ©duire les douleurs musculaires et favoriser l’Ă©limination de l’acide lactique.
Bonne respiration : pendant un exercice intense, se concentrer sur une respiration contrĂŽlĂ©e peut fournir aux muscles lâoxygĂšne dont ils ont besoin pour prĂ©venir lâaccumulation dâacide lactique. Ensuite, des exercices de respiration peuvent aider Ă la rĂ©cupĂ©ration.
Pour une prĂ©vention future, augmenter progressivement lâintensitĂ© de lâexercice peut aider vos muscles Ă sâadapter et Ă rĂ©duire la quantitĂ© dâaccumulation dâacide lactique au fil du temps.
