Les macros nutriment sont:
- Les Glucides
- Les Lipides
- Les Protéines
Les micros nutriments sont:
- Les Vitamines
- Les MinĂ©raux et Oligo-Ălements
- Les Phytonutriments et Antioxydants
- Enzyme digestive
Glucides
COMPRENDRE LES GLUCIDES, LES SUCRES ET LES FIBRES
Types de glucides â Pas uniquement du sucre! Comme par exemple, les fibres sont un type de glucide complexe bĂ©nĂ©fique pour lâorganisme
Les glucides sont des composĂ©s chimiques Ă base dâatomes de carbone, dâhydrogĂšne et dâoxygĂšne. Ils sont normalement classifiĂ©s en fonction de leur longueur de polymĂšre (le nom scientifique pour dĂ©signer une grosse molĂ©cule).
- Les monosaccharides, sucres simples courts, composĂ©s dâune Ă deux unitĂ©s.
- Les oligosaccharides sont des glucides moyens, comportant de trois à dix unités.
- Les polysaccharides qui eux sont composés de plus de dix unités.
Les monosaccharides glucose et le fructose sont les deux sucres simples les plus prĂ©sents. On les appelle des monosaccharides, car ils ne contiennent quâun seul polymĂšre de sucre. Un ose. Ils sont des composĂ©s organiques formĂ©s Ă partir de carbone, d’hydrogĂšne et d’oxygĂšne. Ce sont des hydrates de carbone qui ne peuvent pas ĂȘtre sĂ©parĂ©s par hydrolyse. Parmi les autres monosaccharides, on retrouve le galactose, le xylose, le mannose et dâautres encore. Les monosaccharides se retrouvent comme tels dans les aliments ou ils font partie de glucides Ă plus longue chaĂźne. Le ribose et le dĂ©soxyribose sont deux monosaccharides Ă 5 carbones, constituants importants des acides nuclĂ©iques ADN et ARN.
Les disaccharides sont formĂ©s Ă partir de deux monosaccharides. Le sucrose et le lactose, le saccharose, le maltose sont quatre sucres communs qui sont considĂ©rĂ©s comme des disaccharides. Le sucrose est composĂ© dâune molĂ©cule de glucose et dâune molĂ©cule de fructose. Le lactose â un sucre qui se retrouve dans le lait â est composĂ© de molĂ©cules de glucose et de galactose. Le groupe le plus important d’oligosaccharides est celui des disaccharides.
Les disaccharides sont dégradés et décomposés par des enzymes digestif en monosaccharides.
Les oligosaccharides sont des glucides de taille moyenne (de 3 Ă 9 unitĂ©s) qui fournissent de lâĂ©nergie et des fibres. La maltodextrine est un oligosaccharide que lâon consomme rĂ©guliĂšrement. Elle se compose de 3 Ă 17 unitĂ©s. La nature des liens qui unissent les monosaccharides permet Ă la maltodextrine dâĂȘtre rapidement dĂ©composĂ©e et absorbĂ©e par lâorganisme.
Dans lâorganisme, les oligosaccharides se lient avec des protĂ©ines et des gras. Les structures rĂ©sultantes jouent un rĂŽle important dans une rĂ©ponse immunitaire saine, les membranes cellulaires, la signalisation cellulaire, la peau et plus encore.
Les polysaccharides : ce sont les produits de polymĂ©risation du glucose liĂ©s entre eux par des liaisons osidiques. Les polyosides les plus rĂ©pandus et connus dans le rĂšgne vĂ©gĂ©tal sont lâamidon, le glycogĂšne, la cellulose, la chitine.
Lâamidon est la principale rĂ©serve glucidique des vĂ©gĂ©taux et lâaliment glucidique le plus important pour lâhomme. Il peut prĂ©senter jusqu’Ă 30 ou 60 % du poids sec dâun tissu vĂ©gĂ©tal. Il est abondant dans les graines et les tubercules mais aussi largement rĂ©pandu dans certaines cellules vĂ©gĂ©tales.
Ătant dissous plus lentement, ils favorisent une augmentation plus lente du taux de glycĂ©mie et prolongent la sensation de satiĂ©tĂ©. Les polysaccharides devraient donc composer la plus grande partie des glucides quâune personne consomme.
L’hydrolyse complĂšte de l’amidon donne, par Ă©tapes successives, du glucose: amidon â dextrines â maltose â glucose. Dans le corps humain, plusieurs enzymes connues collectivement sous le nom d’amylases dĂ©gradent sĂ©quentiellement l’amidon en unitĂ©s de glucose utilisables.
Tandis que les plantes utilisent lâamidon pour stocker lâĂ©nergie, les humains utilisent la molĂ©cule nommĂ©eglycogĂšne. Câest le correspondant animal de lâamidon. Il reprĂ©sente la principale forme de rĂ©serve glucidique des animaux. Le glycogĂšne est synthĂ©tisĂ© par lâorganisme Ă partir des sucres consommĂ©s. Câest un polysaccharides reconstruit par le corps puis stockĂ© pour rĂ©serve. Le glycogĂšne se retrouve en grande quantitĂ© dans le foie (peut ĂȘtre stocker aussi directement dans les muscle) oĂč il procure de lâĂ©nergie Ă lâorganisme tout entier. Le glycogĂšne se rencontre Ă©galement chez certaines bactĂ©ries, des algues et les levures.
La celluloseest un constituant uniquement vĂ©gĂ©tal qui ne reprĂ©sente pas une substance de rĂ©serve mais un matĂ©riel structural jouant un rĂŽle de soutien. La cellulose, associĂ©e Ă des substances variĂ©es, organiques (cires, lignine …) ou minĂ©rales (carbonate de calcium, silice) entre pour une part importante dans la composition des membranes vĂ©gĂ©tales, vĂ©ritables parois squelettiques rigides. La cellulose, substance blanche et fibreuse est insoluble dans les solvants usuels y compris lâeau, bien quâelle soit hydrophile.
Les polysaccharides aussi peuvent sâappeler hĂ©tĂ©ropolysaccharide quand ils sont associĂ©s Ă des protĂ©ines. Un bon exemple d’hĂ©tĂ©ropolysaccharide est l’acide hyaluronique, qui se compose de N- acĂ©tyle- D- glucosamine liĂ©e Ă l’acide Glucuronique. Lâacide hyaluronique dĂ©tient des super propriĂ©tĂ© que lâon pourra dĂ©couvrir dans le des bactĂ©ries-amis
Il y a aussi les lipopolysaccharide qui sont des molĂ©cules formĂ©es d’un lipide et d’un polysaccharide, situĂ©e dans la membrane externe de la paroi cellulaire des bactĂ©ries Ă Gram nĂ©gatif. On verra dans le texte des bactĂ©ries-amis quâest ce quâun bactĂ©rie Ă gram nĂ©gatif.
Les lipopolysaccharides sont reconnus par les rĂ©cepteurs TLR4 et MD-2 sur les cellules immunitaires innĂ©es du corps et peuvent signaler l’activation du facteur de transcription NFÎșB, conduisant Ă la production de cytokines pro-inflammatoires qui font partie dâun systĂšme immunitaire en santĂ©. Voir le document du systĂšme immunitaire pour comprendre comment les cytokines pro-inflammatoires servent Ă la guĂ©risons de lâorganisme.
LES FIBRES ALIMENTAIRES : ce glucides pas comme les autres
Les fibres alimentaires font partie de la famille des glucides. Ce sont des polysaccharides Ă chaĂźne plus ou moins longue que l’Homme ne sait pas digĂ©rer. On les retrouve dans les aliments d’origine vĂ©gĂ©tale et il en existe de deux types : les fibres solubles et les fibres insolubles. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, elles ont de trĂšs nombreux bienfaits santĂ©.
Les fibres sont des glucides complexes et bénéfiques
Les diffĂ©rents types de fibres sont Ă©galement classifiĂ©s en fonction de leur longueur. Comme dâautres sucres, leur longueur en fait des oligosaccharides ou des polysaccharides. Ce qui diffĂ©rencie les fibres des autres glucides, câest le fait quâelles ne peuvent pas ĂȘtre complĂštement dĂ©composĂ©es par lâorganisme. De cette caractĂ©ristique dĂ©coulent de nombreux bienfaits pour la santĂ©.
Les fibres insolubles se composent de molĂ©cules comme la cellulose, lignines, hĂ©micellulose et la chitine. On les retrouve dans les grains, les fruits et les lĂ©gumes. Les fibres insolubles, comme le suggĂšre leur nom, ne sont pas absorbĂ©es par lâorganisme, ce qui ne signifie pas quâelles ne sont pas utiles. Elles traversent le tube digestif, oĂč elles contribuent Ă une saine digestion en nourrissant les bactĂ©ries intestinales. Elles augmentent le volume du bol gastrique et amĂ©liorent le transit intestinal.
Les fibres solubles peuvent favoriser la rĂ©gularitĂ© et se lient au cholestĂ©rol pour assurer la santĂ© du cĆur. On les retrouve dans la peau des fruits, le gruau, le psyllium et lâinuline. Les fibres alimentaires solubles forment un gel visqueux en prĂ©sence d’eau. Ce sont les pectines, les gommes et les mucilages.
Caractéristiques des fibres alimentaires :
- Appartiennent à la famille des glucides, ce sont des polysaccharides amidonnés
- Elles sont les restant provenant de la paroi cellulaire ou du cytoplasme des végétaux.
- Elles sont non dégradables par les enzymes digestives.
- Classées en fibres solubles et fibres insolubles
- Les fruits, légumes, légumineuses et céréales complÚtes en sont riches
- Régulent le transit et diminuent la charge glycémique aprÚs un repas
- Ont un effet positif sur la satiété
- Elles n’ont aucune valeur Ă©nergĂ©tique direct pour les humains mais deviennent la nourriture de prĂ©dilection pour nos amis bactĂ©ries qui vivent en nous.
- Dans le tube digestif, les fibres gonflent et emprisonnent certaines molĂ©cules issues de l’alimentation pour faciliter leur Ă©vacuation par les selles. Il en va de mĂȘme pour tous les intrus plus toxiques comme les nitrates, pesticides, etc.
Interaction des fibres alimentaires avec d’autres nutriments
Les fibres alimentaires ralentissent la vitesse d’absorption des lipides et des glucides. Elles sont donc idĂ©ales pour rĂ©gulariser les processus mĂ©tabolique et faire durer lâĂ©nergie. De plus, leur action est optimisĂ©e si elle est combinĂ©e avec une hydratation suffisante. Il est donc nĂ©cessaire de veiller Ă boire au minimum 1,5L d’eau par jour et rĂ©parti sur la journĂ©e.
ConsĂ©quences d’une alimentation pauvre en fibres
Une alimentation dĂ©pourvue de fibres alimentaires est peu rassasiante et peut entraĂźner de la constipation. Elle rĂ©sulte en une disbiose du microte car il nây a pas de nourriture pour entretenir la colonie de bonne bactĂ©rie.
ConsĂ©quences d’une alimentation trop riche en fibres
Les fibres alimentaires ne sont pas toxiques Ă haute dose.
Quâest-ce que lâamidon rĂ©sistant ?
Lâamidon rĂ©sistant, contrairement Ă lâamidon « normal », est indigeste. Il passe Ă la famille des fibres. Il passe dans lâintestin grĂȘle sans que lâorganisme ne lâutilise davantage. Ainsi, le corps prend moins de calories provenant des aliments. Lâamidon rĂ©sistant ne se dĂ©compose que dans le cĂŽlon. Au cours de sa dĂ©composition, lâacide gras butyrate â Ă©tant une source importante dâĂ©nergie pour les cellules de la muqueuse du cĂŽlon â est produit Ă son tour. Je reparle de lâacide gras butyrate dans le documents de BactĂ©rie-amis et Microbiote qui jouent un rĂŽle trĂšs important dans la digestion, dans la rĂ©gulation dâun bon microbiote et dans lâimmunitĂ©.
Lipides- Acides Gras
Il y a les :
- Acide gras saturĂ©s        Â
- Acides gras monoinsaturĂ©s   Â
- Acides gras polyinsaturés
Les acides gras saturé sont dans la viande, les produits laitier et le coconut. Les moins rancissable. Molécule TrÚs stable
Les mono sont dans les huiles végétales comme olive et caméline par exemple. Moyenne rancissable. Molécule moyennement stable.
Les Poly sont les plus rancissable car leur molécules est trÚs instable à la lumiÚre et à la chaleur.
Les bon poly se transforme en GLA dans l’organisme et participe aux processus mĂ©tabolique essentielle du corps.
Les mauvais poly retrouver dans les huiles vĂ©gĂ©talesrancis, chauffĂ© et hydrogĂ©nĂ© comme l’huile de soja, l’huile de canola, l’huile de tournesol, l’huile de palme, l’huile de colza, lâhuile de carthame, lâhuile de graine de coton etc. sont trĂšs trĂšs trĂšs nocives pour les humains. Pourtant on les rencontre PARTOUT. (Gang de fou) les huiles vĂ©gĂ©tales transformĂ©e sont le total flĂ©eu de tout ce qui se passe avec la mal bouffe dans le monde. C’est vraiment dans le pire des pires.
Voir ce document pour mieux comprendre le pire du pire….
Les polyinsaturé sont fragile et sont les plus important !!
Les acides gras essentielles POLYINSATURĂS
Consommée des acides gras essentielles oméga 3.
- Acide Alpha-Linoléique (les oméga 3 qui viennent des plantes, lin, chanvre etc.)
- Acide gras DHA (acide docosahexaénoïque)& acide gras EPA (acide eicosapentaénoïque) (les oméga 3 qui viennent des poissons)
1.Reconstruction et maintien du systĂšme nerveux et du cerveau! (TrĂšs important)
2.RĂ©parateur et nettoyeur du cĆurs et des artĂšres (dĂ©loge le systĂšme cardiovasculaire de ses vielles encrassement de vielles huiles rancie, mauvais cholestĂ©rol, mucus qui bloque la bonne circulation. Nettoie jusquâau capillaire (mini-vaisseaux sanguin qui alimente les cellules) permettant aux cellules de bien se nourrir, bien respirer, bien excrĂ©ter et rester en vie longtemps.
3.Nettoie le corps du rouge inflammatoire.
Les acide alpha-linolĂ©ique de l’huile de lin et de l’huile ou graine de chanvre non rancie de bonne qualitĂ© doivent ĂȘtre garder au froid.
Consommer des acides gras essentielles omega 3 Ă partir de DHA et EPA de poissons et d’algue
Les acides gras DHA et EPA Ă partir de poissons et de krill (sauf le saumon d’Ă©levage) sont les meilleurs source d’omega 3. Les plus assimilable et reconnu par le systĂšme digestif. Consommer souvent des sardines, du foie de morue (non-salĂ©e) et supplĂ©mentez-vous en d’huile de poissons de premiĂšre qualitĂ©. ( moi mes huiles de poissons viennent de la compagnie CARLSON. Je tĂ©lĂ©phonĂ© la compagnie pour obtenir leurs rapports de bacht. Dans les rapports bacht la loi demande d’Ă©chantillionner le produit et de mesurer les quantitĂ© de polluant et de mĂ©taux lourds. AprĂšs toutes mes vĂ©rification exhaustive: Les huiles de poissons CARLSON sont dans la course pour leurs qualitĂ© de pĂšche, d’extraction et distribution.
Consommée des acides gras essentielle oméga 6 GLA.
Les acides LinolĂ©ique: huile d’olive, camĂ©line, lin, chanvre, non rancie de bonne qualitĂ©. Les bonnes acides gras omĂ©ga 6 vont construisent des GLAs, les acide gamma-linolĂ©ique. C’est les GLAs qui sont bonne pour notre corps.
- Acide Linoléique = Oméga 6 (non rancie de bonne qualité qui construit des GLAs)
- Acide Gamma-LinolĂ©ique = GLA (Sous forme direct dans lâonagre, la bourrache et la spiruline)
Ils sont nécessaires au systÚme immunitaire, ils activent les T-Cells (cellules spécialisées du systÚme immunitaire) qui détruisent les cellules cancérigÚnes et les autres mauvaises cellules.
EmpĂȘche la prolifĂ©ration de cellules malignes ou mutantes, par ce fait, ils renversent les cellules cancĂ©reuses en bonne cellules.
Ils ont les mĂȘmes propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires, protecteur et rĂ©parateur du cĆur, des artĂšres, des capillaires, des nerfs et du cerveau que les omĂ©gas 3, de plus ils rĂ©gularisent les fonctions mĂ©taboliques du cerveau et des impulsions nerveuses.
Les mauvais Omega 6!
Les omĂ©gas 6 GLA oui sont bon mais c’est pas tous les omega 6 qui sont bon. Tout les autres omega 6 sont inflammatoire et pĂšse dans la balance. La bonne balance omega 3 versus omega 6. Alors qu’il sont partout dans les huiles vĂ©gĂ©tales, il est facile Ă en dĂ©passer la dose!! Trop de 6 pour pas assez de 3!! Les 3 vient combattre la trop grande consommation de 6 mais il faut qu’il aille des 3. Pas assez de 3 et la balance est rompu, les omega 6 sont nombreux et une trop grande consommation est inflammatoire, surcharge le foie et l’organisme. Bouche les veines et Ă©paissit la lymphe. VOIR DOCUMENT : MARGARINE : TRĂS IMPORTANT SUR LES MAUVAISES HUILES VĂGĂTALS QUI CRĂER DE L’INFLAMMATION ET BOUCHE LES VEINES ET LA LYMPHE.
Les prostaglandines PGE1 PGE2 PGE3
OMĂGA-6 (ACIDE LINOLĂIQUE) + ENZYMES DE CONVERSION = GLA (Acide gamma-linolĂ©ique) Huile de bourrache, dâonagre et de chanvre, spiruline et lait materne.l
Les oméga-6 produisent les prostaglandines 1 et 2 (PGE1 et PGE2)
OMĂGA-3 (ACIDE ALPHA-LINOLĂNIQUE) + ENZYMES DE CONVERSION = (Acide Ă©icosapentaenoĂŻque) Poissons (saumons, sardines, thon, truite de lac, anchois, anguille, etc.) et lait maternel se transforme ensuite en DHA (Acide docosahexaenoĂŻque) Importance du DHA par exemple : Le DHA constitue 15 Ă 30 % du poids du cortex cĂ©rĂ©bral du bĂ©bĂ© et de 30 Ă 60 % de celui de la rĂ©tine.
Les oméga-3 produisent les prostaglandines 3 (PGE3)
Les PGE1 et PGE3 ont des actions trĂšs favorables sur lâorganisme : ProtĂšgent les artĂšres et le coeur et sont anti-inflammatoires comme expliquer plus haut.
La PGE 1 Ă pour fonction de rĂ©gulariser les dâhormones en plus.
Par exemple, le manque de PGE1 provoque des changements dâhumeur. Une carence de PGE1 au cerveau pourrait aussi abaisser le niveau des tranquillisants naturels du corps, endorphines, ce qui explique les symptĂŽmes dâanxiĂ©tĂ©.
Quant aux PGE2, leurs actions sont opposĂ©es aux deux autres. En excĂšs, elles sont donc moins favorables et provoquent de lâinflammation, la constriction des vaisseaux sanguins, etc.
Si nous consommons trop dâomĂ©ga-6 par rapport aux omĂ©ga-3, il y a un risque de produire trop de PGE2 (prostaglandines moins favorables) et de bloquer la formation de PGE3 (prostaglandines trĂšs favorables)!
UTILISATION DES LIPIDES DANS LâORGANISME
Tout comme les glucides et les protĂ©ines, les lipides doivent dâabord ĂȘtre digĂ©rĂ©s avant de pouvoir ĂȘtre absorbĂ©s. Cependant, puisque les lipides ont tendances Ă sâagglutiner, offrant peu de surface dâaction aux enzymes digestives, ils doivent dâabord ĂȘtre dispersĂ©s et Ă©mulsionnĂ©s en fines gouttelettes Ă lâintĂ©rieur de lâintestin grĂȘle, oĂč sâeffectue la majeure partie de leur digestion. Ce sont les acides biliaires et la lĂ©cithine contenus dans la bile qui ont la tĂąche dâĂ©mulsionner les lipides. Il est alors plus facile pour la lipase pancrĂ©atique de sâattaquer aux grosses molĂ©cules de triacylglycĂ©rols quâelle hydrolyse en monoacylglycĂ©rol et en acides gras.
Triglycérides(Triacylglycérol) + enzyme Lipase = Monoacylglycérol + 2 acides gras
Une fois absorbĂ©s dans la muqueuse intestinale, les monoacylglycĂ©rols et les acides gras sont de nouveau assemblĂ©s en triacylglycĂ©rols. Puisquâils sont insolubles dans lâeau, les triacylglycĂ©rols ainsi formĂ©s et les autres substances lipidiques provenant de lâalimentation (cholestĂ©rol, phosphoglycĂ©rides, vitamines liposolubles) se combinent Ă certaines protĂ©ines afin de former des lipoprotĂ©ines capables de circuler dans les liquides de lâorganisme. Les lipoprotĂ©ines formĂ©es dans la muqueuse intestinale sont trop grosses pour traverser la paroi des capillaires sanguins menant au foie. Câest pourquoi elles sont dâabord libĂ©rĂ©es dans la circulation lymphatique. La lymphe transporte alors ces substances dans le courant sanguin afin quâelles soient distribuĂ©es dans lâorganisme.
En gĂ©nĂ©ral, la majoritĂ© des lipides consommĂ©s (plus de 95%) finissent par ĂȘtre absorbĂ©s. Lâabsorption des lipides favorise aussi celle des vitamines liposolubles qui serait impossible sans lipides. Les vitamines liposolubles transportĂ©es avec les lipides ne demandent aucune digestion.
Une fois Ă lâintĂ©rieur des cellules, les acides gras peuvent ĂȘtre utilisĂ©s comme source dâĂ©nergie, incorporĂ©s Ă certaines structures (telles les membranes cellulaires) ou bien entrer dans les voies mĂ©taboliques afin de synthĂ©tiser dâautres molĂ©cules. Les acides gras en surplus sont stockĂ©s dans le tissu adipeux formant ainsi une rĂ©serve dâĂ©nergie qui pourra ĂȘtre libĂ©rĂ©e selon les besoins de lâorganisme. Outre les rĂ©serves dâĂ©nergie, le tissu adipeux remplit aussi dâautres fonctions : les graisses stockĂ©es sous la peau servent dâisolant pour prĂ©venir les pertes de chaleur et celles qui recouvrent les viscĂšres (coeur, rein, etc.) aident ceux-ci Ă rester en place tout en les protĂ©geant.
Les triglycĂ©rides (graisses neutres, ou triacylglycĂ©rols) sont les lipides les plus abondants dans notre alimentation. Le pancrĂ©as Ă©tant la seule vĂ©ritable source dâenzymes lipolytiques, ou lipases, lâintestin grĂȘle devient pratiquement le seul site de digestion des lipides. La lipase linguale, sĂ©crĂ©tĂ©e par les glandes linguales dans la bouche, nâhydrolyse quâune faible quantitĂ© de lipides (moins de 10%).
LâĂ©mulsification ne dĂ©truit pas les liaisons chimiques mais Ă©vite que les molĂ©cules de lipides rĂ©adhĂšrent une Ă lâautre en les dispersant. De cette façon, le nombre de molĂ©cules de triglycĂ©rides exposĂ©es aux lipases pancrĂ©atiques est grandement augmentĂ©. Sans la bile, la digestion des lipides nâaurait pas le temps de se faire complĂštement durant le passage de la nourriture dans lâintestin grĂȘle.
La merveilleuse huile dâolive, en Ă©quilibre !
- Acide gras saturĂ©s         14,8%  Â
- Acides gras monoinsaturĂ©s5     76,6%  Â
- Acides gras polyinsaturés5         8,6%
Protéines et Acides Aminées
DiffĂ©rents acides aminĂ©s doivent ĂȘtre manger dans le mĂȘme repas pour pouvoir construire des protĂ©ines. Dans les Ćufs et la viande rouge on retrouvent diffĂ©rentes chaines dâacide aminĂ© en mĂȘme temps. Mais dans les grains, les, noix et les lĂ©gumineuses souvent on retrouve seulement un ou deux acides aminĂ©s. Câest pourquoi il faut faire des mix intelligents lors du mĂȘme repas. Les microalgues : chlorelle et spiruline sont des sources trĂšs riches en protĂ©ines complĂšte, car elles contiennent plusieurs acides aminĂ©s.
LE DOCUMENTS DE PROTĂINE BEN INTĂRESSANT EST ENTRAIN DE CE FAIRE CRĂER!
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Les minéraux et oligo-élements
Minéraux:
ĂlĂ©ments inorganiques naturels ayant une structure cristalline et une composition chimique caractĂ©ristiques. Ils sont classĂ© en deux groupes: les macro-minĂ©raux et les micro-minĂ©raux.
Macro-Minéraux:
Sont ceux dont le corps a besoin de plus de 100 milligrammes par jour pour un bon maintien de la santé.
- Calcium
- Magnésium
- Potassium
- Sodium
Micro/Oligo-MinĂ©raux ou Oligo-ĂlĂ©ments:
Sont ces minéraux dont le corps a besoin de moins de 100 milligrammes par jour pour un bon maintien de la santé.
- Zinc
- Sélénium
- Cuivre
- Bore
- MolybdĂšne
- Iode
- ManganĂšse
- Chrome
- Chlore
Ălectrolyte Intracellulaire et Extracellulaire
Ăquilibre SodiumâPotassium des cellules.
Souvent on voit dans un corps plus ou moins en santĂ© un dĂ©siquillibre sodium-potassium au niveau des cellules. MĂȘme ceux en santĂ©, il estr facille de chargĂ© nos cellules en trop plein de sel si on comsomme plus de sodium que de potassium dans notre alimentatoin ou un manque d’excersice physique qui permet d’Ă©tablir une bonne Ă©quilibre. Quelques fois au courant de la vie une supplĂ©mentation en sels de potassium sert vider les cellules et les liquides interstitielles de leurs trop grandes concentrations de sel (chlorure de sodium, sel conventionnelle).
LâĂ©quilibre sodium-potassium se rĂ©tablie Ă la normal permettant aux cellules dâassimilĂ© et dâexcrĂ©tĂ© normalement.
Surtout permettre au cellules de ne pas se surchargĂ© de travail d’excrĂ©tion difficile qui la rend malade et peut mĂȘme causer sa mort ou son altĂ©ration d’ADN lors de ses duplications mitose.
Les cellules pris avec se dĂ©siquillibre peuvent manquer d’absortion ( causer par la mauvaise polaritĂ© chimique/Ă©lectrique) au travers leur membranes. Certaines acide aminĂ©, ou vitamines ou minĂ©raux importante pour la construction de protĂ©ines ( ou autres fonctions mĂ©taboliques) qui servent Ă faire de la bonne duplication cellulaire. Quand je parle de bonne duplication, je veux dire que la rĂ©plication est sans-faille, sans altĂ©rations d’ADN.
- K+ = Potassium chargé positivement
- Na+ = Sodium chargé positivement
On voit sur le dessin de la cellules normale que la concentration de potassium est beaucoup plus haute en potassium Ă lâintĂ©rieur de la cellulles que celle su sodium. Le contraire Ă lâextĂ©rieur soit plus de sodium dans le liquide interstitielles. De cette maniĂšre la cellules est en santĂ© et son Ă©lectronĂ©gativitĂ© chimique/Ă©lectrique est dans la bonne direction soit nĂ©gative intĂ©rieur et positive extĂ©rieur. Cette Ă©quilibre permet la bonne Ă©change des matĂ©riaux de construction et la bonne excrĂ©tion des dĂ©chets.
Potassium
Nous avons besoin de 4700 mg = 4.7g par jour de potassium
Magnésium
Lâapport nutritionnel conseillĂ© (ANC/RDA) en magnĂ©sium est fixĂ© Ă 6 mg/kg/jour, soit environ 400 Ă 420 mg pour les hommes et 310 Ă 360 mg pour les femmes.
L’affaire est que 77 % des femmes et 75 % des hommes ont des apports en magnĂ©sium infĂ©rieurs aux ANC.
Le magnĂ©sium (Mg) est un sel minĂ©ral essentiel au bon fonctionnement de notre organisme. Il est impliquĂ© en tant que cofacteur dans plus de 300 rĂ©actions enzymatiques1, telles que la synthĂšse des protĂ©ines, des acides nuclĂ©iques⊠Il amĂ©liore le sommeil, la concentration, la rĂ©sistance au stress, diminue lâanxiĂ©tĂ©, la fatigue et agit sur le systĂšme immunitaire.
Le magnésium joue également un rÎle dans le métabolisme osseux et le maintien de la densité osseuse.
99 % du magnésium corporel est réparti entre le tissu osseux (le principal lieu de stockage du magnésium), les muscles et les tissus mous non musculaires.
Enfin, il joue un rĂŽle dans le transport de lâinflux nerveux et dans la contraction musculaire.
- Indispensable psychorégulateur
- Le magnésium qui fait dormir profondément
- La forme qui apaise votre stress et anxiĂ©tĂ© et rĂ©gule les battements du cĆur
- Le magnĂ©sium qui sâaccroche Ă vos os et les renforce
- Le magnĂ©sium qui combat la fatigue et rend plus alerte et concentrĂ©âŠ
- Malate et citrate de magnĂ©sium : bien tolĂ©rĂ©s par les intestins, ils prĂ©sentent lâimmense avantage dâĂȘtre basifiant, contrairement Ă la forme chlorure. De plus ils sont peu coĂ»teux, ce qui en fait les deux formes privilĂ©giĂ©es pour combler les carences.
- GlycĂ©rophosphate de magnĂ©sium : il sâagit dâun sel particuliĂšrement bien absorbĂ© mais qui nâest pas basifiant et dont le coĂ»t est beaucoup plus Ă©levĂ©. On lâutilise gĂ©nĂ©ralement plus ponctuellement.
Une teneur élevée et une biodisponibilité optimale sont les deux critÚres essentiels pour choisir ce minéral.
Les aliments les plus riches en magnésium sont le:
- chocolat noir cacao non sucré, le
- tofu, les fruits secs et oléagineux (noix,
- amandes, noisettes), le pain complet et
- les céréales complÚtes, les bananes,
- fruits de mer, poissons (maquereaux,
- sardinesâŠ+++), lĂ©gumes verts (choux+++), graines (cumin,
- lin, chiaâŠ), laitue de mer+++, gingembre
- et sel marin non raffiné.
- Les légumes vert foncé représentent une excellente source de
- magnésium, car la chlorophylle en est riche.+++
Algues
- wakame++
- arame++
- kombu++
- hijiki++
- kelp+++
Nous avons vu prĂ©cĂ©demment que la plupart dâentre nous Ă©taient aussi en dĂ©ficit de vitamine D, surtout lâhiver. Donc, en cas de manque en vitamine D, le magnĂ©sium nâest plus absorbĂ© correctement par lâintestin et il passe directement dans les urines, oĂč il est Ă©liminĂ©. Une raison de plus de ne jamais oublier la vitamine D !
Autres minĂ©raux et vitamines qui participe Ă l’assimilation, au transport et Ă la fixation du magnĂ©sium dans le corps! :
- Le bisglycinate de magnĂ©sium est l’une des formes les mieux absorbĂ©es 10 Ă 30 mg par jour Ă 2/3 prise
- Taurine ( Acide-Aminé)
- Vitamines B6-B9
- Vitamine C
- Vitamine D
- Le B6 permet d’augmenter l’absorption du magnĂ©sium
- Nous avons besoin dâenviron 400 mg de magnĂ©sium par jour. Mais pour bien absorber le magnĂ©sium, nous avons besoin de⊠vitamine D.
- La taurine se comporte comme un épargneur de magnésium
- La taurine peut ĂȘtre prise seule comme un antioxydant
- Le citrate et le malate sont intéressants pour leur effet alcalinisant. Ils sont mieux tolérés sur le plan digestif et bien absorbés au niveau intestinal. Mais leur teneur en magnésium est faible (de 5 à 20 %). Ils sont souvent associés à de la vitamine B6 ou de la taurine pour augmenter leur absorption.
Deux type de magnésium à ne pas consommer :
- Carbonate de magnésium : laisse des dépÎts de carbonate
- Glycérophosphate de magnésium : laisse des dépÎts de phosphate dur sur les reins.
En cas d’infection (vieux truc d’une grand-mĂšre magnĂ©sium)
- Toujours avoir de lâhydroxyde de magnĂ©sium
- Toujours avoir du chlorure de magnésium
- Pour guĂ©rir rapido : 1/4 cuillĂšre Ă thĂ© dâhydroxyde de magnĂ©sium (pas plus) Ă prendre Ă jeun, avec Ă©ventuellement un citron pour enlever le mauvais goĂ»t. Laxatif et irritant, utiliser seulement comme mĂ©dicament d’urgence.
LâhypomagnĂ©sĂ©mie (concentration sĂ©rique du magnĂ©sium infĂ©rieure Ă 0,65 mmol/l) peut ĂȘtre due Ă la prise de diurĂ©tiques, Ă une pathologie dâorigine digestive (malabsorption, diarrhĂ©e chroniqueâŠ) ou rĂ©nale. Le stress chronique peut Ă©galement entraĂźner un Ă©puisement des rĂ©serves de magnĂ©sium. Des effets indĂ©sirables peuvent apparaĂźtre si vous manquez de magnĂ©sium : nausĂ©es, difficultĂ©s dâendormissement et de concentration, nervositĂ©, anxiĂ©tĂ©, fatigue, crampes. Si la carence est prolongĂ©e, on peut observer des engourdissements, spasmes musculaires, crampes dâestomac, tremblements, palpitations cardiaques, augmentation de lâexcitabilitĂ© neuronale et de la transmission neuromusculaire.
Le bisglycinate de magnésium
Câest une forme chĂ©latĂ©e oĂč le magnĂ©sium est liĂ© Ă la glycine (un acide aminĂ© aux effets calmants sur lâorganisme). Il contient environ 16 % de Mg Ă©lĂ©mentaire. Il est particuliĂšrement digeste et trĂšs bien assimilĂ© par lâorganisme. Câest une forme Ă privilĂ©gier pour une cure en cas de stress, anxiĂ©tĂ©, surmenage, mauvais sommeil, fatigue ou petite dĂ©prime.
Le citrate de magnésium
Ce sel de magnĂ©sium organique associe magnĂ©sium et acide citrique. Il est digeste et bien tolĂ©rĂ© par lâorganisme, mais peut avoir un lĂ©ger effet laxatif chez certains Ă doses Ă©levĂ©es. MĂȘme si sa teneur en Mg Ă©lĂ©mentaire est dâenviron 15 %, il est intĂ©ressant car sa biodisponibilitĂ© est lâune des plus Ă©levĂ©es. AdaptĂ© pour une cure en cas de fatigue ou dâĂ©puisement.
Le malate de magnésium
Ce sel de magnĂ©sium organique est une association de magnĂ©sium et dâacide malique. Il est hautement assimilable et sa teneur en magnĂ©sium est dâenviron 15 %. Malheureusement, il est rarement prĂ©cisĂ© sur les produits si lâacide malique est dâorigine vĂ©gĂ©tale ou synthĂ©tique. Cette forme a peu dâincidence sur le transit si le dosage est respectĂ©. Nous vous le conseillons si vous ĂȘtes sportif, en cas de stress, de fatigue passagĂšre, chronique, ou de surmenage.
Si vous voyez indiquĂ© « 100 mg de magnĂ©sium », le produit nâapportera que 12 mg de Mg Ă©lĂ©mentaire (12 %) si câest du chlorure de magnĂ©sium, ou 15 Ă 16 mg (15 Ă 16 %) si câest du citrate de magnĂ©sium.
Calcium
Généralement les gens sont plus déficients en calcium que tous les autres minéraux. Les gens parlent de combien est important le calcium mais ne parle pas ou ne savent pas à propos des factures essentielle for faire une assimilation et une utilisation efficace du calcium.
Tous les minĂ©raux dans le corps sont dans une balance dĂ©licate. Si une dĂ©ficience en calcium existe tous les autres minĂ©raux seront en dĂ©balancĂ©s. Alors une assimilation efficace du calcium va amĂ©liorer lâutilisation de tous les autres minĂ©raux du corps.
Les scientifiques changent et rechange leurs conclusions au niveau de tous les interactions biochimiques du corps. Ils dĂ©couvrent toujours des nouveautĂ©s dâannĂ©e en annĂ©e qui rĂ©ajuste constamment leur science du corps humain.
Autrefois il était suggéré une ration de 1 magnésium pour 1 calcium. Maintenant nous avons laissé ce ration et nous suggérons 2 magnésium pour un calcium, ce qui se rapproche du ratio naturel retrouvé dans les grains et les légumes.
Beaucoup de nord-amĂ©ricain sâimagine encore que les produits laitiers (25% de leur alimentation) sont une bonne source de calcium, ils font erreur car le calcium dans les produit est de mauvaise qualitĂ© ce qui les conduits Ă des dĂ©ficiences causant des maladies tel que lâarthrite et lâostĂ©oporose.
En Chine et en Asie ou la consommation de produits laitier est minimal, arthrite et ostéoporose sont des maladies rares.
Pour une assimilation efficace du calcium, le magnĂ©sium, le phosphore, et les vitamines A, D, C doivent ĂȘtre prĂ©sents. En fait, si ces minĂ©raux et vitamines ne sont pas prĂ©sent, aucune assimilation du calcium ne se fera.
Lâhormone calcitonine augmente lâassimilation du calcium dans les os et non dans les tissues mou. Si cette hormone nâest pas lĂ , tous le calcium consommĂ© va aller directement dans les tissues mou. Lâarthrite est caractĂ©risĂ©e par ce phĂ©nomĂšne de manque dans les os et de trop dans les tissues mou. Le magnĂ©sium est nĂ©cessaire Ă la production de lâhormone calcitonine.
- Soupe de FĂšves aduki avec alguesÂ
- Soupe dâos ou de poisson entier
Nuit Ă lâassimilation du calcium
- Acid Oxalique: Chocolat, Ăpinard, Chard, Feuille de betterave
- ExcĂšs de sel
- ExcÚs de protéine (surtout animal)
- Café, alcool, drogues, tabac, sucre raffiné, liqueur
- Les légumes de la famille des solonacées : Tomate ( surtout) ,patate, poivron, aubergine contiennent la solanine!
Calcium | 1200mg | Par jour | ||
MĂ©lasse noir | 137mg | 1 c-a-s | ||
Algue, aramé | 120mg | 10g | ||
Hijiki, Kombu | 120mg | 10g | ||
Wakame | 120mg | 10g | ||
Amande | 20mg | 1/4t | Absorption@21% | |
Brocoli cuit | 40mg | 1t | Absorption@60% | |
Chou collard cuit | 356mg | 1t | ||
Kale cuit | 58mg | 1t | Absorption@50% | |
Bok choy cuit | 84mg | 1t | Absorption@50% | |
Figue sécher | 135mg | 5 | ||
Orange | 74mg | 1 |
Il du calcium dans plein d’autre affaire! Faudra aller chercher l’info sur le net ailleur itoo! HĂ©hĂ©
Le Zinc
RDA = Homme et femme : 8mg
50% de zinc de retrouve dans les muscles et joue un rĂŽle trĂšs important au niveau du systĂšme immunitaire.
L’un des minĂ©raux essentiels nĂ©cessaires au dĂ©veloppement des enfants et des adultes est le zinc. Ce minĂ©ral aide Ă combattre les infections et aide Ă©galement Ă la production de cellules dans le corps. Il renforce l’immunitĂ© du corps et aide Ă guĂ©rir les blessures plus rapidement. En mĂȘme temps, il aide Ă crĂ©er des brins d’ADN dans le corps. Le zinc est Ă©galement essentiel pour les femmes enceintes. Le zinc est l’une des exigences essentielles pour le maintien d’un systĂšme immunitaire sain. Un adulte moyen devrait consommer au moins 8 Ă 11 mg de zinc par jour. Le minĂ©ral est disponible dans divers aliments tels que la viande rouge, les haricots, les noix et certains fruits de mer. D’un autre cĂŽtĂ©, une carence en zinc peut avoir des effets nĂ©fastes sur votre santĂ© et votre qualitĂ© de vie.
Signe de dĂ©ficience : Tache blanche sur les ongles, perte des cheveux, systĂšme immunitaire faible, lente cicatrisation, perte d’appĂ©tit, perte de poid, infection facile de la peau ou des ongles, perte du gout et de l’ordorat, vision faible, diarrhĂ©e.
Le Fer
- Fer hémique dans les viandes rouge est plus facilement absorbable
- Fer non-hémique est moins absorbable, contenus dans les céréales et les légumes.
- Assimilation meilleur grĂące Ă la vitamine C!
On trouve le fer ici :
- Persil
- Lentille verte
- Luzerne Alfalfa
- Basilic
- Ortie
- Amande
- Lapin
- Figue
- Chevreuil
- Cressons
- Fenouil
- Sardine
- Prune sécher
- Noix de coco
- Lentilles bouillies, 125 ml = 3,5 mg
- Graines de citrouille écalées, 30 g = 4,5 mg
- Ćufs, 2 = 1,3 mg
- LĂ©gumineuses : Lentille, Aduki, 1 tasse (250 ml) = 4,2 mg
- LĂ©gumes verts : laitue romaine foncĂ©, brocoli, chou, chou-fleur, Âœ tasse (125 ml) = 1,4 mg
- 1 fruit ou œ tasse (125 ml) de fruit ou 1 figue ou 2 pruneaux ou 3 abricots secs= 0,4 mg
- MĂ©lasse noire (30 ml, 2 c. Ă table) = 7 mg
- Quinoa cuit (175 ml) = 4 mg
Aide Ă l`absorption du fer
- Vitamine B9Â / Acide folique
- Vitamine B12
- La vitamine C triple absorption du fer
- Le cuivre mobilise le fer et est par le fait aussi nécessaire à la formation des globules rouges.
RDA (recommended daily allowances)
- Homme 8mg
- Femme 18 mg
- Femme enceinte ou qui allaite 27-30 mg
- Femme enceinte qui allaite 36mg
L’acide phytique altĂšre l’absorption des minĂ©raux, du fer et du zinc notamment.
Cependant, les personnes Ă risque de carence en fer ou en zinc devraient diversifier leur alimentation et ne pas inclure d’aliments riches en phytates dans tous les repas.
Le fer non hĂ©mique est Ă©galement fortement affectĂ© par l’acide phytique, alors que le fer hĂ©mique n’est pas.
Les supplĂ©ments doivent toujours ĂȘtre pris au repas afin de maximiser leur assimilation et la dose doit ĂȘtre rĂ©partie Ă travers la journĂ©e (2-3/jour). Dans le cas des supplĂ©ments de calcium et magnĂ©sium, les prendre entre les repas pour ne pas nuire au zinc et au fer.
Les oxalates diminuent aussi son absorption!
Voir document des TOXINES ALIMENTAIRES pour mieux comprendre et apprendre au sujet des phytate et oxalate.
Le Cuivre
RDA = Homme et femme : 0.9mg
Le manganĂšse
RDA = Homme et femme : 2mg
Le molybdĂšne
RDA = Homme et femme : 0.045mg
Le Sélénium
RDA = Homme et femme : 0.055mg
- Pour ĂȘtre fonctionnel, le sĂ©lĂ©nium doit ĂȘtre liĂ© Ă la cystĂ©ine
- Il est un antioxydant qui ralenti le processus de vieillissement
- Il joue un rÎle dans le métabolisme des hormones thyroïdiennes
- Il travaille en Ă©troite collaboration avec la vitamine E
Le Chrome
RDA = Homme et femme : 0.035mg
Source : Brocoli, Champignon.
- Il aide Ă©galement Ă diminuer lâappĂ©tit et les rages de sucre tout en accĂ©lĂ©rant le mĂ©tabolisme des gras.
Lâiode
RDA = Homme et femme : 0.15mg
Source = les Algues, les Légumineuses et les Légumes verts feuillus, suppléments.
- La majeure partie de lâiode contenu dans lâorganisme se trouve dans la glande thyroĂŻde.
- Il est aussi Ă noter que le sel de mer ne contient pas dâiode.
- L’iode est trĂšs importante pour une bonne gestion du mĂ©tabolisme par la glande thyroĂŻde.
- L’iode sert aussi Ă l’Ă©limination des dĂ©chets de mĂ©taux lourd et radioactif.
- Les excĂšs dâiode sont dangereux car ils inhibent lâactivitĂ© de la glande thyroĂŻde. Trop c’Est comme pas assez.
Certain sysmĂŽme d’un manque d’iode sont: Fatigue et manque d’Ă©nergie, dĂ©pression, troubles de la mĂ©moire, frilositĂ©, prise de poids, peau sĂšche et chute de cheveux, baisse du rythme cardiaque, constipation, rĂšgle abondantes et irrĂ©guliĂšres, crampes.
Nourriture | mg | quantité | |
LĂ©gumineuse | fer | 6 | 1t |
cuivre | |||
zinc | 2 | 1t | |
manganĂšse | |||
molybdĂšne | |||
Algues | iode | ||
figue | fer | 4.2 | 10 |
prune | fer | 2.4 | 10 |
Avocat | fer | 2.8 | 1 |
mélasse noir | fer | 4.6 | 2c-a-s |
zinc | |||
sélénium | |||
Thon | fer | 1 | 100 g |
sardine | manganĂšse | ||
millet | fer | 2.2 | 1t |
zinc | 2.2 | 1t | |
pissenlit | fer | 2.3 | 1t |
Gruau | fer | 1.7 | 1t |
zinc | 1.2 | 1t | |
amande | fer | 1.9 | 2/3t |
cuivre | |||
zinc | 1.7 | 4 c-a-s | |
noix de grenoble | cuivre | ||
champignon | zinc | 1.4 | 1t |
crucifĂšre | zinc | 0.6 | 1t |
noix de brésil | Sélénium (Une des bonne source) | ||
légume vert feuillus | iode |
L’oligothĂ©rapie
Des nutriments pour la vie
il est devenu possible d’envisager l’utilisation de l’oligothĂ©rapie dans les soins prodiguĂ©s par la mĂ©decine humaine. Petit Ă petit il s’Ă©tablie quelques notions Ă©difiantes sur le rĂŽle que pouvait jouer les oligo- Ă©lĂ©ments dans l’accompagnement des maladies.
Une des premiĂšres bases de rĂ©flexion repose sur l’idĂ©e que la rĂ©ceptivitĂ© d’une maladie par l’organisme va dĂ©pendre avant tout du TERRAIN du malade.
– Cette rĂ©ceptivitĂ© est en rapport avec les Ă©changes organiques, en particulier le phĂ©nomĂšne d’oxydorĂ©duction et l’Ă©quilibre acide/base.
– Cette rĂ©ceptivitĂ© (TERRAIN) va Ă©voluer avec l’anciennetĂ© de la maladie, les causes, l’Ăąge du malade, s’il s’agit d’un homme, d’une femme, d’enfants et de certains facteurs extĂ©rieurs.
– En agissant sur la qualitĂ© des Ă©changes organiques il va ĂȘtre possible de modifier l’Ă©volution de la maladie.
DĂ©finition et rĂŽle des Oligo-ĂlĂ©ments
Les oligo-Ă©lĂ©ments (ou sels minĂ©raux) sont des mĂ©taux et des mĂ©talloĂŻdes contenus dans le corps humain Ă des doses parfois trĂšs petites, mais absolument nĂ©cessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Ces mĂ©talloĂŻdes ou mĂ©taux colloĂŻdaux peuvent prendre plusieurs appellations telles que Oligosols, Oligocure, Granions, Biocatalyseurs, Catalyons etc. selon leur commercialisation.
La thĂ©rapeutique faisant appel aux oligo- Ă©lĂ©ments s’appelle “l’oligothĂ©rapie”. Le mot oligo trouve son origine du Grec “oligos” qui signifie petit ou peu abondant.
Les oligo-Ă©lĂ©ments ne sont pas considĂ©rĂ©s comme des mĂ©dicaments mais plutĂŽt comme des nutriments qui doivent faire partie de notre alimentation quotidienne. Malheureusement, notre alimentation s’est appauvrie au fil du temps et ne comporte plus les Ă©lĂ©ments indispensables au maintien de notre Ă©quilibre nutritionnel. Il est donc recommandĂ© de complĂ©ter cette alimentation carencĂ©e par l’apport de complĂ©ments alimentaires et lorsque cela ne suffit pas, dans le cas de troubles dĂ©clarĂ©s par exemple, il sera nĂ©cessaire de faire appel Ă l’oligothĂ©rapie, en utilisant des oligo-Ă©lĂ©ments isolĂ©s ou des complexes qui sont des associations de plusieurs oligo- Ă©lĂ©ments comme le cuivre, l’or et l’argent.
Les oligo- Ă©lĂ©ments sont des catalyseurs qui interviennent directement dans de multiples fonctions de l’organisme. Leur seule prĂ©sence permet des rĂ©actions chimiques bien prĂ©cises qui ne se produiraient pas sans cela.
Ils ont des actions bien spécifiques avec en particulier des effets antitoxiques et bactéricides bien précis.
Ce sont des modificateurs du terrain, agissant en profondeur et favorisant les processus d’autodĂ©fense de l’organisme face aux infections de toutes origines.
Ils interviennent dans les échanges métaboliques et ont ainsi une action diastasique en favorisant les phénomÚnes vitaux indispensables au maintien de notre équilibre organique comme la respiration et la nutrition par exemple.
Leur utilisation est facile et sans danger. Les oligo- Ă©lĂ©ments peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă d’autres mĂ©decines comme l’allopathie ou l’homĂ©opathie sans prĂ©senter d’inconvĂ©nients. Ils font merveille dans les troubles fonctionnels et les maladies chroniques. La voie d’absorption est principalement sublinguale, et l’emploi est facile et sans danger. Les traitements prĂ©conisĂ©s sont identiques quel que soit le poids ou l’Ăąge du sujet, seule la durĂ©e du traitement et la frĂ©quence des prises peuvent varier.
Application de l’oligothĂ©rapie aux troubles de santĂ©
Les oligo- Ă©lĂ©ments se prĂ©sentent habituellement sous forme d’ampoules, de flacons doseurs, de comprimĂ©s ou de granules.
Quelques exemples de troubles pouvant ĂȘtre traitĂ©s par l’oligothĂ©rapie:
- Acné juvénile: cuivre-or-argent et zinc
- AĂ©rophagie: cobalt, manganĂšse-cobalt, soufre et zinc-nickel-cobalt
- Ballonnements abdominaux: nickel-cobalt, manganĂšse-cobalt, soufre, carbone
- Bronchites: cuivre, manganÚse, phosphore, sélénium, soufre
- Chevilles (laxité ligamentaire): manganÚse-cuivre
- Cicatrisation (retard de): manganĂšse-cuivre, cuivre-or-argent, silice, or et manganĂšse
- Diarrhées: soufre et argile, colites droites: manganÚse-cobalt , colites gauches: manganÚse-cuivre
- Dilatation des bronches: manganÚse-cuivre, soufre et sélénium
- Ătats psychiques: manganĂšse-cuivre, cuivre-or-argent et lithium
- Extrasystoles: manganÚse-cobalt, phosphore, cobalt, magnésium
- FiĂšvre: cuivre
- Fractures: fluor, or, silice, sélénium
- Gastralgies et gastrite: manganĂšse-cobalt
- Grippe: magnésium, magnésium-cuivre, cuivre-or-argent
- HerpĂšs: soufre, manganĂšse, manganĂšse-cobalt
- Hypercholestérolémie: carbone, silice, cobalt
- Infections: cuivre-or-argent, cuivre et sélénium pour les infections pulmonaires
- Insuffisance hépatique: manganÚse et soufre
Les Phytonutriments et les Antioxydants
Lâhistoire des antioxydants : important pour la guĂ©rison
Liste des antioxydants les plus importants :
- Glutathion
- Alpha-lipoĂŻque
- N-Acétyle-L-Cystéine (NAC)
- Coenzyme Q10
- Vitamine A, E, C
- Plusieurs acide-aminĂ© que lâon retrouve dans les protĂ©ines servent Ă construire des antioxydants comme : les acides-aminĂ©s glutamines et glycines mĂ©langĂ© Ă du N-AcĂ©tyle-L-CystĂ©ine construisent ensemble du glutathion.
- QuercĂ©tine (antioxydant faisant partie des flavonoĂŻdes retrouvĂ© dans lâail lâoignon rouge, les baies et le choux)
- La méthionine
- Sélénium
Les antioxydants combattent les radicaux libres.
Les radicaux libres (aussi appelĂ©: stress oxydant ou stress oxydatif) sont lâennemis #1 des humains.
Radicaux libres : Des molĂ©cules contenant un Ă©lectron non appariĂ©. Les radicaux libres sont trĂšs rĂ©actifs et dĂ©clenche lâoxydation. ( La rouille) Ils rĂ©agissent trĂšs facilement avec dâautres molĂ©cules dont ils modifient la nature chimique. Ces changements peuvent Ă©ventuellement devenir toxiques pour les cellules.
Antioxydants : Des molĂ©cules qui ralentissent ou rĂ©duisent les dommages causĂ©s Ă un organisme par les radicaux libres et dâautres oxydants. Les antioxydants aident Ă prĂ©venir la rĂ©action chimique appelĂ©e oxydation en neutralisant les Ă©lectrons non appariĂ©s sur des molĂ©cules potentiellement dangereuses.
Les radicaux libres percutent les membranes cellulaires plus de 10 000 fois par jours. Ils viennent de notre mauvaise alimentation : aliment gras et oxydĂ©s, viandes transformĂ©es ou de mauvaise qualitĂ©, pesticides, additif chimique dans les aliments, lâalcool, tabagisme, mĂ©dicaments, air polluĂ©, eau polluĂ©e, les radiations (Ă©cran, soleil, wifi), stress, maladie et le mĂ©tabolisme de guĂ©rison normal du corps en produit aussi. ( mais nous somme pas suppossĂ© d’ĂȘtre continuellement en mode de grande guĂ©rison… dans le meilleur des mondes!)
Les antioxydants neutralisent les radicaux libres qui endommage les cellules et les tissus de votre corps. Il est impératif de renforcer notre défense antioxydantes pour contrer les effets néfastes des radicaux libres.
Les glutathions
Le glutathion est une protĂ©ine naturellement produite par lâorganisme. Il sâagit plus prĂ©cisĂ©ment dâun tripeptide, composĂ© de trois acides aminĂ©s: lâacide glutamique, la cystĂ©ine et la glycine. Son action antioxydante puissante intervient pour ralentir le vieillissement cellulaire et limiter notamment les dommages du stress oxydatif (des radicaux libre). Il existe sous deux formes en Ă©quilibre dans lâorganisme: une forme rĂ©duite (GSH), biologiquement active et une forme oxydĂ©e (GSSG)
Avec la SOD (super-oxyde-dismutase), ce sont les deux “antirouille” les plus puissants dans notre organisme. En outre, il est indispensable Ă certaines rĂ©actions mĂ©taboliques et biochimiques, par exemple la synthĂšse et la rĂ©paration de l’ADN, la synthĂšse des protĂ©ines et de prostaglandines, le transport des acides aminĂ©s et l’activation des enzymes.
Le glutathion protĂšge les cellules contre le stress oxydatif de deux maniĂšres:
Il capte les groupements chimiques oxydants et contribue ainsi Ă rĂ©duire les effets dĂ©lĂ©tĂšres oxydants provoquĂ©s par les radicaux libres, ces dĂ©rivĂ©s actifs de l’oxygĂšne hautement rĂ©actifs et instables.
Il inhibe lâoxydation (peroxydation) des lipides.
En se liant Ă diffĂ©rents composĂ©s toxiques, il joue un rĂŽle majeur dans la dĂ©fense de l’organisme contre les xĂ©nobiotiquesâ (substances Ă©trangĂšres Ă l’organisme, carcinogĂšnes, pollution, pesticides, mĂ©taux lourds, mĂ©dicaments). Il favorise lâĂ©limination de ces polluants, rendus hydrosolubles, dans la bile ou les urines.
Hautement concentrĂ© au niveau du foie, il exerce un rĂŽle dĂ©toxifiant en limitant lâaccumulation de toxines.
Le glutathion participe Ă la rĂ©gulation et rĂ©gĂ©nĂ©ration des dĂ©fenses naturelles. De fait, il contribue au renforcement des dĂ©fenses de lâorganisme par son action stimulatrice sur la production de lymphocytes ou dâinterleukine du systĂšme immunitaire. Le glutathion aide donc Ă combattre les maladies et les infections.
Par son action antioxydante le glutathion aide Ă combattre les inflammationsâ.
Le glutathion protĂšge Ă©galement de lâinflammation du systĂšme digestif. Notamment dans les cas de gastrite, ulcĂšres de l’estomac et de pancrĂ©atite. Aussi, il agit en cas dâinflammation intestinale: colite, rectocolite et maladie de Crohn.
Offre une protection contre le dĂ©clin cognitif liĂ© Ă lâĂągeâ et les maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives
Par voie orale, le glutathion prĂ©sente une faible biodisponibilitĂ©.â car ce petit peptide est rapidement dĂ©gradĂ© au niveau intestinal. Lorsque consommĂ©e dans une forme liposomale: le glutathion est encapsulĂ© dans des microparticules de graisse. Cela le rend rĂ©sistant aux acides gastriques et lui permet aussi d’ĂȘtre mieux assimilĂ© par l’intestin. C’est la forme la plus puissante.
Ce qui est mieux est de prendre plutĂŽt certains composĂ©s prĂ©curseurs du glutathion: la glutamineâ, la N-acĂ©tyl-cystĂ©ine (NAC) â, la gamma-glutamylcystĂ©ine, la cystĂ©inylglycine. D’autre part, il est reconnu que lâacide alpha-lipoĂŻque et la silymarine (extrait du chardon-marie) augmentent les niveaux sanguins de glutathion.
La vitamine C augmente son absorption et ses effets. Il est intĂ©ressant de lâassocier avec le glutathionâ.
Certains oligo-éléments (zinc, cuivre, manganÚse, fer et sélénium) peuvent venir renforcer son rÎle protecteur.
Vitamine C, sĂ©lĂ©nium et glutamine contribuent Ă accroĂźtre le taux de glutathion dans lâorganisme. Il est recommandĂ©, pour en disposer suffisamment, de manger des fruits et des lĂ©gumes, notamment ceux de la famille des crucifĂšres.
Le glutathion, naturellement présent dans les plantes, les champignons, est particuliÚrement concentré dans le pamplemousse, et légumes (surtout les crucifÚres: brocoli, chou, navet, rutabaga, chou-fleur).
Lâacide Alpha-LipoĂŻque
Lâacide Alpha-LipoĂŻqueest un antioxydant trĂšs important. Cette petite molĂ©cule efficacement absorbĂ©e et franchit facilement la membrane des cellules. Il est soluble dans les graisses et dans lâeau. Ils captent les radicaux libres Ă lâintĂ©rieur delĂ cellules et Ă lâextĂ©rieur, dans les espaces intercellulaires. Il prolonge la vie biochimique des autres antioxydants en leur redonnant leur Ă©lectron perdu, ce qui a pour effet de prĂ©server leurs pouvoir dâaction. La vitamine C et le glutathion sont directement recyclĂ©s par lâacide alpha-lipoĂŻque et particique ainsi au processus de dĂ©toxification. Elle participe Ă la crĂ©ation de lâĂ©nergie du corps dans son rĂŽle de dĂ©gradation du glucose, câest un antioxydant dont lâorganisme a besoin pour mieux conserver un taux de sucre sanguin normal. En fait, lâacide alpha-lipoĂŻque accroĂźt la sensibilitĂ© du glucose Ă lâinsuline, ce qui contribue Ă prĂ©server la santĂ© mĂ©tabolique. Il amĂ©liore la conduction nerveuse. Les Acide alpha-lipoĂŻque est un puissant chĂ©lateur de mĂ©taux lourds.
N-Acétyle-L-Cystéine
Le NAC (N-AcĂ©tyle-L-CystĂ©ine) est principalement apprĂ©ciĂ© pour son rĂŽle dans la production d’antioxydants. Avec deux autres acides aminĂ©s – la glutamine et la glycine – la NAC fabrique et reconstitue du glutathion. La cystĂ©ine est un acide aminĂ© nĂ©cessaire au dĂ©veloppement du glutathion, cette molĂ©cule de dĂ©toxication de premiĂšre importance. Il est facile dâobtenir un apport en cystĂ©ine, car elle est prĂ©sente dans de nombreuses protĂ©ines animales, mais aussi dans plusieurs sources vĂ©gĂ©tales. En fait, il suffit dâajouter un soupçon dâail et le tour est jouĂ©.
Le Coenzyme Q10 est une molĂ©cule importante dans la production dâĂ©nergie par la mitochondrie et possĂšde en plus des propriĂ©tĂ©s antioxydantes particuliĂšrement complexes. Le CoQ10 agit en synergie trĂšs Ă©troite avec la vitamine E dans la protection des membranes cellulaires contre le stress oxydant.
La méthionine
La méthionine est un antioxydant. Il peut aider à protéger le corps contre les dommages causés par les rayonnements ionisants. Il peut détoxifier les substances nocives dans le corps, telles que les métaux lourds.
La mĂ©thionine est un acide aminĂ© unique. Il contient du soufre et peut produire d’autres molĂ©cules contenant du soufre dans le corps. Il est Ă©galement impliquĂ© dans le dĂ©marrage de la production de protĂ©ines dans les cellules.
La mĂ©thionine forme de la cystĂ©ine, qui aide Ă former des enzymes glutathion qui aident Ă dĂ©toxifier les produits chimiques et les radicaux libres. Elle rĂ©duit aussi la libĂ©ration d’histamine.
Cependant, les praticiens de la santĂ© recommandent plus souvent la cystĂ©ine que la mĂ©thionine comme antioxydant, car elle offre une plus large gamme de protection et les gens l’assimillent mieux.
Les phytonutriments
Les phytonutriments sont des composés chimiques trouvés dans les végétaux. avec des effets positifs sur la santé et la nutrition humaines.
Les phytonutriments agissent comme des pigments dans les végétaux, donnant aux fruits et légumes des couleurs vives. De plus, ces composés protÚgent et renforcent la santé des végétaux.
Ils contribuent à préserver la santé humaine quand on les manges. Mais pour cela il faut en manger!
Agissant comme des antioxydants, les phytonutriments aident Ă protĂ©ger lâorganisme contre les radicaux libres, ces composĂ©s vĂ©gĂ©taux aident Ă neutraliser les oxydants.
Les polyphénols constituent une famille de molécules hydrosolubles largement présente dans le rÚgne végétal surtout concentrés dans les tissus des feuilles des végétaux. Ils repoussent les prédateurs et aident à préserver la santé des végétaux.
Les polyphĂ©nols sont les antioxydants les plus abondants tirĂ©s de lâalimentation et sont connus pour favoriser la santĂ© cardiovasculaire. Deux polyphĂ©nols particuliĂšrement importants pour une saine alimentation â le resvĂ©ratrol et la curcumine â sont aussi des ingrĂ©dients clĂ©s des supplĂ©ments alimentaires.
- Resvératrol ( Peau du raisin)
- Extrait de pépins de pamplemousse
- Curcumine
- Extrait de thé vert
- Extrait dâolive
- Extrait de bleut ( bleuets)
- Pommegrenade
Les polyphénols Ils sont classés en différents sous-familles : les polyphénol flavonoïdes, les polyphénols de tanins, les polyphénols resvératrol, etc.
Les flavonoĂŻdes sont une famille de composĂ©s polyphĂ©noliques trĂšs rĂ©pandus dans la nature (lĂ©gumes) et doivent ĂȘtres consommĂ©s dans le cadre de l’alimentation humaine en quantitĂ©s importantes.
Les flavonoïdes les plus fréquents sont les quercétines, les isoflavones, les anthocyanes ou les catéchines. Les principaux effets de ces substances sont veinotoniques (vaisseaux sanguin), anti-inflammatoires et certaines sont antioxydants. Les scientifiques ont déjà identifié plus de 8000 flavonoïdes différents. Certaines de ces molécules ont un effet antitumoral. Oignon, brocoli, ail, pomme, cassis, aronie, sureau, framboise, menthe poivré, ginkgo, absinthe, artichaut, fenugrec font partie de la liste
Ils rĂ©gulent Ă la hausse d’autres enzymes antioxydantes endogĂšnes comme la superoxyde dismutase (SOD), la catalase et la glutathion (GSH) peroxydase (Px). En outre, ils inhibent la phospholipase A2 (PLA2), la cyclooxygĂ©nase (COX) et la lipoxygĂ©nase (LOX) conduisant Ă une rĂ©duction de la production de prostaglandines (PG) et de leucotriĂšnes (LT) et Ă l’antagonisme de l’inflammation. Les effets de ces composĂ©s biologiquement actifs sur le systĂšme immunitaire sont associĂ©s Ă des bienfaits Ă©tendus pour la santĂ© pour diffĂ©rentes maladies inflammatoires chroniques. Des Ă©tudes d’extraits et de composĂ©s vĂ©gĂ©taux montrent que les polyphĂ©nols peuvent jouer un rĂŽle bĂ©nĂ©fique dans la prĂ©vention et la progression des maladies chroniques liĂ©es Ă l’inflammation telles que le diabĂšte, l’obĂ©sitĂ©, la neurodĂ©gĂ©nĂ©rescence, les cancers et les maladies cardiovasculaires, entre autres.
La curcumine est un polyphĂ©nol flavonoĂŻde qui est l’ingrĂ©dient actif de l’Ă©pice curcuma.
CarotĂ©noĂŻdes : Des bactĂ©ries, algues et vĂ©gĂ©taux photosynthĂ©tiques produisent plus de 750 pigments appelĂ©s carotĂ©noĂŻdes. Le rĂŽle de ces derniers consiste Ă aider Ă protĂ©ger les plantes contre des longueurs dâonde lumineuse nocives afin de leur permettre de tirer de lâĂ©nergie du soleil. Ces pigments aident aussi Ă protĂ©ger les parties photosynthĂ©tiques des cellules des vĂ©gĂ©taux.
Câest Ă cette classe de phytonutriments que lâon doit la coloration vive des fruits et lĂ©gumes en rouge, orange et jaune. Puissants antioxydants essentiels Ă la protection de la santĂ© oculaire, les carotĂ©noĂŻdes contribuent aussi Ă une communication fluide entre les cellules.
- BĂȘta-carotĂšne
- LycopÚne, lutéine et zéaxanthine
BioflavonoĂŻdes :
Les bioflavonoĂŻdes (ou flavonoĂŻdes) forment une catĂ©gorie particuliĂšre de polyphĂ©nols et ils se distinguent par leur structure chimique. Il existe des centaines de bioflavonoĂŻdes dâorigine vĂ©gĂ©tale dont lâaction favorise la santĂ© et la force.
Comme dâautres phytonutriments, les bioflavonoĂŻdes sont surtout des antioxydants. Mais ils aident aussi Ă protĂ©ger le foie, Ă prĂ©server la santĂ© cĂ©rĂ©brale et plus encore. De plus, ils peuvent ĂȘtre utiles au maintien dâune taux hormonal normal.
- Quercétine et rutine
- Hespéridine
La Quercétine
La quercĂ©tine est un antioxydant faisant partie des flavonoĂŻdes. Elle est supposĂ©e ĂȘtre lâune des substances les plus actives prĂ©sentes dans lâail (voir âailâ dans cette fonctionnalitĂ©). On en retrouve Ă©galement dans les cĂąpres, les choux (de toute sorte), les baies, le raisin, les haricots verts, le thĂ©, les oignons (rouges), les pommes et le sarrasin. La quercĂ©tine est aussi disponible sous forme de complĂ©ment alimentaire.
L’Astaxanthine â Un autre antioxydant puissant.
L’astaxantine est un pigment de la famille des carotĂ©noĂŻdes. Il se trouve Ă l’Ă©tat naturel dans les algues, les planctons, le krill, les fruits de mer, les crustacĂ©s et diffĂ©rents poissons comme le saumon ou la truite. De nombreuses Ă©tudes semblent montrer qu’Ă l’heure actuelle, lâastaxanthine constitue lâun des antioxydants et anti-inflammatoires naturels les plus puissants car il arrive Ă atteindre chaque type de cellules, il peut aussi traverser la barriĂšre hĂ©mato-mĂ©ningĂ©e pour protĂ©ger les cellules du cerveau et du systĂšme nerveux. (On ne le prend pas en supplĂ©ment) (Il est dĂ©crit ici Ă tire informationnelle) (On le consomme dans notre alimentation : algues, planctons, krill, poissons)
Voir le documents de SUPPLĂMENTS pour obtenir plus d’info sur la supplĂ©mentation en phytonutriments et en antioxydants.
Enzyme digestive
Il faut connaitre un peu les enzymes digestives car elles sont aussi encore une fois trÚs importantes pour la santé totale.
Ils font partie de la digestion, pas dâenzyme = pas de digestion; pas de digestion = pas dâassimilation; pas dâassimilation= fermentation et dĂ©nutrition.
Chaque enzyme on des tĂąches spĂ©cifiques : protĂ©ase pour protĂ©ines par exemple, lactase pour les lactoses, lipase pour les grasâŠamylases pour les sucres. etcâŠ
Liste dâenzyme digestive :
- Protéase
- Lipase
- Amylase
- Malt Diastase
- Invertase
- Alpha Galactosidase
- Gluco-amylase
- Lactase
- Cellulase
- HĂ©micellulase
- Pectinase