
Les deux parties du système immunitaire
- Le système immunitaire innée
- Le système immunitaire adaptatif
Le système immunitaire innée
Nous sommes nés avec, il est la première ligne de défense.
Il est composé des globules blancs aussi appelé : Leucocytes.
Voici les différents types de globules blancs :
- Macrophage : Produisent de l’interféron, ils font une guerre chimique, il tienne le fort, et il recrute les back-ups du système adaptatif.
- L’Interféron est un produit chimique très acide qui ressemble à du Bleach qui cause de l’interférence avec la réplication virale. Très utile.
- Les macrophages font partie de la catégorie des phagocytes (phago qui veut dire manger).
- Neutrophile : 70% mucus qui protège toutes les portes d’entrée de notre corps et qui tapisse l’intérieur de nos intestin et fosse nasale etc. sont constitué de neutrophiles. Les Neutrophiles ne vivent pas longtemps, ils font une bataille jusqu’à la mort. Ils ont trois manières de faire la bataille : ils peuvent manger les pathogène (comme le font les macrophages), ils peuvent envoyer un filet autour du pathogène qui le tue ou ils peuvent envoyer un chimique acide dessus le pathogène pour le tuer.
- Natural Killer Cells/ Cellules NK (Lymphocytes): Nous sommes nées avec, ils savent quoi faire. Les Natural Killer se spécialise dans la bataille contre les virus et contre les cellules tumorales cancéreuse. Ils font un trou dans les cellules virus et/ou tumeurs et injecte un produit appeler perforine qui provoque le suicide de la cellule maligne. Le minéral zinc joue un rôle très important dans la production de perforine. La vitamine C augmente la production de Cellule NK. ( 10 X + dans 78% des patients testés).
Pour construire les Macrophages et les Neutrophile on a besoin de Zinc, Vitamine C, Vitamine D.

Le système immunitaire adaptatif
C’est le système de back up et nous le développons à mesure.
Pas très rapide, le corps doit faire les cellules au fur et à mesure qu’il en a besoin. Le système inné demande du back up, ils regardent comment construire dans la mémoire adaptative, ils les construisent, cela peut prendre 3-5-7 jours avant que l’armée du système adaptive soit arrivé au champ de bataille.
Il y a 4 joueurs dans le groupe adaptatif : 3 types de Cellules-T et 1 type de Cellules-B
Le T dans Cellules est là pour représenter la glande Thymus, T comme dans Thymus, car c’est le thymus qui en est le centre de production, le camp d’entrainement.
- T- Natural Killer Cells/Cellules NK-T: Ils sont les plus fort. Les ceux qui attaques. Ils tuent les virus. Aussi appeler les cellules cytotoxiques car ils tuent avec des produits acides et toxique.
- T-Helper Cell: Il aident les cellules NK en détectant les intrus et en leur apposant un tag dessus, ce qui facilite le travail. Ils sont aussi comme les commandants.
- T-Regulatory Cell/Cellules T Régulateur: Ils différencient les bon des mauvais. Ici il faut savoir que chaque fois qu’il y à bataille il y a inflammation de produit. Les acides de combats utiliser et les cellules mortes crée de l’inflammation. C’est pourquoi les cellules T régulateur sont là pour ralentir la cavalerie qui desfois s’affole pendant la guerre et produirais trop d’inflammation. Ils préviennent alors les maladies auto-immunes et réduisent l’inflammation.
- Les B-Cell/Cellules-B : Ils ne font pas les batailles eux. Ils neutralisent. Ils font en sorte que les pathogène ne peuvent pas rentrer dans une cellule pour l’infecter. Il tag les intrus pour que les l’autres viennent les tuer. C’est eux qui détiennent la mémoire immunitaire. C’est eux qui font les anticorps! Les anticorps qui se souviennent. On peut avoir jusqu’à des centaines de millions de différents anticorps en souvenir accumulé tout au long d’une vie pour subvenir à toutes batailles. Le stress, le sucre, les chimique, les métaux lourds etc. vont perturber la mémoire des cellules-B, on perd nos apprentissages et on diminue nos chances à la bataille. Le B de B-Cell vient de Bone marrow/moelle osseuse car c’est de la leur origine.
Nous avons besoin de Zinc, de Vitamine C et de Vitamine D pour que ces cellules de système immunitaire fonctionnent bien.
À mesure que nous vieillissons, ces cellules diminue en quantité, le thymus rapetisse et moins de ces cellules sont créé. Alors les ceux qui sont produite doivent être de bon guerrier. C’est pourquoi on ne veut pas être déficient en Zinc, ni en Vitamines C ou D, ni en Sélénium, et même chose pour les autres oligo-éléments, acides aminé essentielles, acide gras essentielles etc.



Les organes reliés au système immunitaire :
- Tout le système lymphatique!
- Thymus : Situé en arrière de la trachée. C’est le camp d’entraînement pour les cellules-T. Les déficiences en zinc font rapetisser le thymus. L’âge aussi.
- Ganglions : Certains pathogènes sont emmagasinée dans les ganglions pour que le corps les élimine tranquillement sans qu’ils puissent interférer. Le stress fait rapetisser les ganglions qui deviennent moins efficace.
- Colon : Environ 70% de système immunitaire est situé dans le colon, le microbiote. Nous entretenons une relation symbiotique avec des bactéries. Nous leurs offrons une place à vivre et de la nourriture, eux en échange nous aide dans la digestion, dans l’immunité et même dans la production de vitamine très importante : Vitamine B12, B1, Biotin, Vitamine K, autres. Les bactéries lactobacillus produisent de l’acide lactique qui donne de la misère aux pathogènes à vivre. Les Antibiotiques tuent ces bactéries et dégrade l’acide lactique nous donnant pas la suite beaucoup de misère à combattre.
- Moelle Osseuse : Producteurs des globules blancs!
- Mucus : Tapisse intérieur des fosse Nasale, trachée, poumons, intestin, autres. Ce mucus est rempli d’enzyme antimicrobien de toute sortes. Ils forment une super barrière sur un impressionnant 400 mètre carré. On produit environ de 1 à 1.5 litre de mucus chaque jour composé de 70% de neutrophiles. Nous avons aussi besoin de vitamine A pour produire ce mucus important.

Intestin, Colon et Microbiome: 70% du système immunitaire. Les bonnes bactéries sont là pour nous aider dans notre digestion et dans notre immunité!
Les bonnes bactéries produisent de l’acide lactique et cette acide lactique tuent les pathogènes, les pathogènes ne résiste pas à vivre dans cet acide. Ils créent un environnement favorisant la prolifération des bonnes bactéries et la mort des mauvaises. Cet équilibre doit être conservé. Nous sommes supposées avoir 99% de bonnes bactéries.

Voici un agrandis d’une section de la membrane intérieure de l’intestin grêle avec ses villosités et ses cellules entérocytes qui sont les cellules absorption des nutriments lors de la digestion. Sur l’image on voit aussi comment le système immunitaire y est étroitement relié pour faire le tri dans tous ce qui passe. Sur cette image on voit, de plus, les bonnes bactéries lactobacillus lactis qui aide au cellules entérocytes de l’épithélium intestinale.
Mitochondrie, Cytokine et ERO
Ce n’est pas la maladie qui vous tue, c’est votre système immunitaire!
Beaucoup d’inflammation, de radicaux libres : espèces réactives de l’oxygène (ERO/Radicaux libre) et des tempêtes de cytokine/interférons qui se forment quand on fait la bataille, c’est cela qui cause le plus de dommage au corps! Ça prend beaucoup de vitamine D, entre autres, pour aider au cellules T régulateur pour diminuer les tempêtes de cytokines et de fabrications de radicaux libres.
Les mitochondries sont des organites à l’intérieur de la cellule
Fonction des mitochondries :
- Respiration cellulaire
- Régulation de la prolifération cellulaire
- Synthèse d’acide aminée, lipide et nucléotide
- Synthèse d’hormones stéroïdienne (hormones sexuelle, cortisol, aldostérones)
- Production de chaleur par le découplage mitochondrial
- Modulation de la production d’interférons/cytokines
- Régulation des espèces réactives de l’oxygène (ERO/Radicaux libre)
- Régulation de l’apoptose (suicide intelligent des cellules infectés)

Modulation de la production d’interféron par les mitochondries
Les interférons sont une protéines produit par nos cellules immunitaire, ils sont un type de cytokines: Chimique puissant fort important pour freiner la diffusion d’un virus ou d’une maladie, elle s’actionne pour donner le temps au système adaptatif d’arrivé au champ de bataille.
Les interférons sont secrétés et se fixent sur les cellules infectées. Ils peuvent aussi protéger les cellules avoisinantes encore saine.
Régulation des espèces réactives de l’oxygène de la mitochondrie
Les espèces réactives de l’oxygène (ERO) sont un type de radicaux libres. Les ERO jouent à la base un rôle important dans l’équilibre de nos cellules
Le ERO sont des espèces chimiques oxygénées dérivé notamment de la production d’énergie dans la chaine de transport des électrons au niveau mitochondrial. Ce sont des fragments moléculaires hautement instable, qui par leur nature chimique chercher à équilibrer leur charge électronique en oxydant d’autre molécules.
Sur le plan immunitaire, cette propriété oxydante des ERO est fort intéressante. Elle offre une action lytique et destructrice qui confère un fort pouvoir microbicide. Immédiatement après avoir englouti un pathogène, une cellule phagocytaire passe d’un état quiescent à un état actif qui lui fait considérablement augmenter sa consommation d’oxygène en vue de bâtir un arsenal radicalaire (de radicaux libres) capable de mener à la destruction de cet intrus.
Le stress oxydatif (radicaux libres):
Il y a les ERO et il y a aussi les RNS qui sont produits par les cellules.
- Espèces réactives de l’oxygène (ERO)
- Espèces azotées réactives (RNS)
Comme nous avons vu, la génération d’espèces réactives de l’oxygène (ERO) et d’espèces réactives de l’azote (RNS) est un processus métabolique essentiel pour maintenir l’homéostasie chimique cellulaire et pour l’immunité du corps.
On connait aussi que c’est par temps de bataille que les interférons/cytokines et les EROs sont produits en masse aidant au processus de défense mais aussi produisant de l’inflammation, du stress oxydatif.
Ceci entraîne des dommages potentiels, causant des dommages oxydatifs aux grandes biomolécules, telles que les protéines et l’ADN, qui peuvent éventuellement conduire à des mutations de l’ADN, des modifications génétiques et/ou des altérations épigénétiques. Alors, qu’on le veule ou pas, le stress oxydatif a une association significative avec de nombreuses maladies inflammatoires, des plus banale, aux plus dégénératives et neurodégénératives.
Cette inflammation est diminuée grâce aux antioxydants et grâces aux cellules T régulateur.
La mitochondrie ce place au centre de cette régulation immunitaire puisque c’est à la fois elle qui produit les quantités les plus importante d’EROs et aussi elle qui renferme plusieurs des systèmes d’antioxydant/anti-inflammatoire (super oxyde dismutase, catalase etc..) nécessaire à enlever l’inflammation.
C’est pourquoi en temps de bataille il est impératif de se protéger de cette inflammation en s’organisant pour obtenir suffisamment de nutriments antioxydants et anti-inflammatoires.
Régulation de l’apoptose faite par la mitochondrie
Le pouvoir lytique des ERO ne se limite pas à l’extermination des pathogènes, S’ils sont relâchés en quantité importante dans la cellule, ils peuvent provoquer des lésions au niveau membranaire et induire sa mort. Le cellules mourante relâche alors tout son contenu dans la circulation sanguine, y compris les ERO. Ceux-ci ont la propriété d’attirer davantage de cytokines, ce qui permet ensuite de guider le système immunitaire dans la mise en place d’une stratégie de défense adéquate.
Ces quelques mécanismes non exhaustifs ne constituent qu’un minimum aperçu de l’étendue de la complexité du rôle immunitaire des mitochondries. L’intégrité mitochondriale est donc absolument essentielle pour monter une défense immunitaire approprié.
À part qu’ils partent en fou et crées trop d’inflammation, les EROS sont donc des armes de destruction massive.

L’affaire c’est que le corps n’est pas supposé être en bataille perpétuelle. Le système immunitaire est supposé défendre, faire ça job et après prendre un break parce que c’est supposé être fini. Mais nous les humains on est fou et on mange mal et on ne dort pas à moitié et le système immunitaire travail tout le temps et produit de l’inflammation de surplus et ça n’aide pas.

Mutation à la mitochondrie
Comme vu plus haut dans le texte, l’ADN de nos cellules sont altérées en permanence par le stress oxydatif/radicaux libre/inflammation et d’autres facteurs (non discutés ici), une mauvaise transcription du code se produit. Heureusement, la nature a développé des mécanismes de réparation de l’ADN performants pour empêcher cela. Des enzymes contrôlent ainsi en permanence notre ADN à la recherche d’erreurs dans le code. Mais desfois dans un organisme en mauvaise santé, trop c’est trop et l’ADN se modifie quand même malgré tout. Ces mutations engendrent tous sorte de problèmes donc un très important relié à la respiration cellulaire exécuté par la mitochondrie qui mènent aux maladies dégénératives.

Les antigènes des leucocytes humains (HLA)
Le complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) est, en immunologie, un système de reconnaissance du soi présent chez la plupart des vertébrés. On distingue les complexes majeurs d’histocompatibilité de classe I et de classe II. Chez l’être humain, en génétique, on parle de l’antigène HLA.
Le système HLA est une identification immuno-tissulaire précise de chacun de nous, permettant une traçabilité ethnique, anthropologique et une réactivité immunologique spécifique à l’égard des maladies, des virus et des microbes.

Le système HLA s’explique avec le chromosome 6: le paléo-chromosome.
Chromosome qui identifie et résume l’évolution du vivant.
Ce chromosome 6 permet la reconnaissance du soi et du non-soi.
Les protéines codées par HLA sont des protéines disposées sur la partie extérieure des cellules et sont uniques à l’individu. Le système immunitaire utilise les HLA pour distinguer les cellules du soi de celles du non-soi. Le soi étant une immunité innée et le non-soi étant une immunité adaptative.
L’immunité du soi, est présente dans nos gènes, c’est le premier système de défense mais il ne réussit pas tout le temps. Lorsqu’il réussit : dans l’exemple ou un macrophage réussi à phagocyté complètement un virus d’où à la suite, le job est fait et on en parle plus. Là on peut dire que le système du soi a vaincu et à fonctionner seul mais souvent cette phagocytose complète n’est pas possible, donc on fait appel à l’immunité du non-soi adaptative.
Toute cellules, cellule infectée par un virus, pathogènes ou bactéries n’exprimant pas le bon HLA sera considérée comme un envahisseur potentiel et sera éliminée.

Comment ?
Quand un envahisseur potentiel entre dans l’organisme, des cellules appelées : cellules présentatrices d’antigène (CPA) le capturent via un processus d’endocytose. Certaines protéines de cet envahisseur sont digérées en petits peptides (épitopes) et chargées sur les antigènes HLA avant que ces dernières soient exprimées à la surface des CPA. Les CPA migrent alors jusqu’aux organes lymphoïdes secondaires (ganglions, plaques de Peyer, rate…) et présentent ces HLA chargés des épitopes des envahisseurs aux cellules T, qui induisent des réactions immunitaires afin de l’éliminer : activation des lymphocytes B pour la production d’anticorps, sécrétion de cytokines pro-inflammatoire, recrutement de NK, de macrophages.
Ben faite hen!
Mais il y a aussi des mutations sur les HLA!
Les HLA, en tant que complexe de gènes peuvent muter et se modifier.
Il y a les bonnes mutations constitutives qui permettre entre autres d’étendre le potentiel de reconnaissance des envahisseurs et d’ajuster au fil de l’évolution à la descendance une réactivité immunologique spécifique adapté. La traçabilité ethnique et anthropologique codé dans les HLA aussi est ajusté et évolue.
Il y a aussi les mauvaises mutations, qui sont normal : les corps en santé en produisent de temps en temps quand le système immunitaire se met en mode bataille et crée des tempête d’EROs qui augmente les facteurs mutagènes. Un corps en mauvaise santé, toujours en inflammation excessive, produit beaucoup de cellules exprimant un HLA muté et deviennent non-reconnus par leur propre corps. Ceci entraine de graves maladies auto-immunes. Pas bon.
Dans la plupart des cas, dans un corps en santé, une cellule exprimant un HLA muté qui entraîne une réaction auto-immune sera automatiquement éliminée (un processus appelé sélection négative, qui se produit dans le thymus).
Dans d’autre cas, dans un corps en mauvaise santé, ils ne sont pas éliminés, et la maladie s’installe.

Il y a une suite au texte des HLA et réactivité immunologique spécifique du chromosome 6, voir plus bas.
Solution :

Comment prendre soin de :
- notre immunité
- nos mitochondries
Comment prévenir, détecter et arrêter :
- les mauvaises mutations d’ADN des mitochondries
- les mauvaises mutations d’ADN des HLA
On veut supporter :
- les mécanismes au bon fonctionnement des mitochondries
- les mécanismes de réparation de l’ADN
- les mécanismes d’autophagie
- les mécanismes des cellules Natural Killer
On veut ajuster notre alimentation et notre mode de vie :
- Réduire le stress.
- Soutenir le microbiote.
- Obtenir beaucoup d’exercice.
- Obtenir beaucoup de sommeil.
- Suivre régime Keto, réduire le sucre et les montés trop fréquentes d’insuline.
- Pratiquer les jeûnes et les jeûnes intermittents qui ont des effets extrêmement positifs sur le système immunitaire et d’autophagie.
- Se supplémenter et assimiler les bon complémentaires alimentaire au soutient et maintient du système immunitaire, des mitochondries et à la réparation de l’ADN.
(Voir: RÉPARATION DE L’ADN)

Soutenir le microbiote avec des probiotiques, des produits lactofermenté et des bonnes fibres alimentaires.
Les fibres sont digérées par nos bonnes bactéries. Leur fermentation contribue au développement des acides gras à chaîne courte tels que l’acide butyrique, qui nourrit les cellules épithéliales intestinales et les bonnes bactéries de l’intestin.
L’acide butyrique est un anti-inflammatoire qui supporte les cellules T Régulateur. C’est merveilleux!
Exercise:

- Augmente la capacité de surveillance, les gardes sont plus motivés.
- Augmente la circulation de la lymphe.
- Retarde les effets d’un système immunitaire qui prend de l’âge.
- Augmente la réponse immunitaire
- Réduit le stress mental grandement
- Obtenir de l’exercice régulièrement, et le truc pour empêcher que le cortisol monte trop est de ne pas s’entrainer trop dure et de prendre beaucoup de repos.
Sommeil :
- Quand on dort on stimule les Growth Hormones. Les growth hormones sont intimement relié aux protéines et le système immunitaire est presque entière constitué de protéines.
- Quand on ne dort pas assez ou assez bien on augmente le cortisol et l’adrénaline et c’est deux la vont quand activé chroniquement pendant le sommeil vont réduire grandement les capacités du système immunitaire.
- Les macrophages phagocytes sont dépendent des cycles de sommeil, du rythme circadien
- Les cellules-NK sont à leur maximum d’efficacité pendant la journée, si nous sommes fatigués à cause d’un mauvais sommeil, ils ne travaillent pas bien.
Faut s’organiser pour bien dormir!

Régime Keto et moins de sucres :
- Le glucose dévie, ralentie et inhibe le mouvement (chimiotaxie) des globules blancs vers les sites dont ils doivent aller.
- Moins de macrophage et moins de leurs armes
- Moins de neutrophiles et moins de leurs armes
- Le PH devient plus acide et cela inhibe aussi le système immunitaire.

- Un des autres gros problèmes d’avoir trop de sucre dans le sang est la destruction du système vasculaire. Les artères, les veines, etc. La circulation sanguine est diminuée, résulte en moins d’oxygène pour les cellules du système immunitaire, donc moins de vitalité. De plus cela provoque une augmentation des pathogènes anaérobiques et le fungus/fermentation de champignon.
- Éliminer les sucres car les macrophages et les neutrophiles vont aller vers le sucre aulieu de la maladie.
Jeûne et Jeûnes intermittents
Pratiquer le jeûne car le jeûne active plusieurs gènes qui renforce le système immunitaire, un mécanisme de guérison développer par le corps depuis le début de l’évolution. Le microbiote qui est 70% de notre système immunitaire (dans le colon) devient fort en bonne bactéries lorsqu’on jeûne. (ils deviennent paresseux lorsqu’on mange trop).
Si on fait un jeune de 72 heures on peut littéralement se reconstruire un systèmes immunitaire neuf !!
72 heures c’est 3 jours. Une fois par mois!
- Ça donne le temps au macrophage de tout mangé la Junk.
- Ça donne de la puissance au t-cells and b-cells et à leurs armes.
- Ça augmente les cellules souches, les bébés cellules toutes neuves et super efficace qui sert finalement à reconstruire le système immunitaire en neuf.
- Le jeune induit l’autophagies : processus qui auto mange et recycle les vieux globules blancs, en reconstruis des nouveaux jeunes et costaux. Réparation de l’ADN.

Stress : C’est finalement le stress (le cortisol) qui a le plus défait nuisible sur le système immunitaire.
Le stress arrête la fonctionnalité des globules blancs : t-cell, b-cell, phagocytes, anticorps etc. Problème appelé : Lymphocytopenia
Réduit la grosseur des ganglions et du thymus : moins de capacité de d’emmagasiné les pathogènes pour les détruites et moins de capacité de construire des nouvelles cellules immunitaires.
Réduire le stress, surtout le stress mental, un des pires stress pour affaiblir le système immunitaire est la perte d’un être cher. Un deuil. Le deuil d’un enfant est le pire de tous.

- Trouvé la cause et remédier, un travail, une personne…?
- Prendre des longues marche (exercice)
- Obtenir un meilleur sommeil
- Ton environnement doit être paisible, cool et fun à y vivre.
- Ne pas être déficient en vitamine B1 Thiamine.
Quelques suppléments et compléments alimentaires pour le système immunitaire :
- Probiotique
- AHCC/extrait de champignon médicinale : Réparation de l’ADN
- Vinaigre de cidre de pomme : augmente l’efficacité des macrophages
- Argent Colloïdale : 30 gouttes 3 fois par jour.
- Huiles d’orégano, de menthe, lavande
- Tisane de Pau d’arco, Absinthe, Noyer noir pour antifongique
- Tisane camomille pour reminéralisation et système nerveux tranquille
- Quercétine : réduit les histamines en plus! (antioxydant)
- Prendre l’air en forêt! Huile essentielle de conifère en respiration dans le diffuseur.
- Vitamine D3: 20 000 UI par jour!
- Omega 3
- S’assurer de pas avoir de déficience en Zinc, cuivre, sélénium, fer et iode
- Colostrum
Et dans l’alimentation on s’assure d’avoir en masse de :
Vitamine A :
- Intégrité des membranes de mucus défensif de l’intestin
- Grands effets sur les macrophages
- Garde les jonctions serrées de l’intestin en santé.
Vitamine C :
- Les globules blancs sont chargés de vitamine C. Ils en dépendent pour leur création, leur vie et toutes leurs fonctionnalités.
- La vitamine C augmente la motion des globules blancs, leurs mouvements est plus rapide! Elle permet au macrophage de manger plus vite. Elle sert à créer les armes (acides, etc.) que les globules blancs ont besoin pour attaquer.
- La vitamine C aide les macrophages à faire le ménage des vieux neutrophiles mort.
- Il y a beaucoup plus de vitamine C concentré dans les cellules globules blancs que dans le sang lui-même.
- On veut obtenir environ 500mg de vitamine C par jour.
Calcium :
- participe à la bonne transcription des codes d’ADN.
Aliment soufré et Sulforaphane : Réparation de l’ADN
- Ail, oignon, crucifère et pousse de brocolis.
Suite : Je veux en savoir plus : comment ça marche réactivité immunologique spécifique du chromosome 6!
Avec une prise de sang on peut déterminer un type d’indentification tissulaire qui nous révèle des informations au niveau de la réactivité immunologique spécifique à l’égard des maladies, des virus et des microbes d’individus et ceci se trouvant du centre du bras court du chromosome 6.
Un chromosome est formé en haut de deux bras court et en bas de deux bras long. Le bord extérieur des chromosomes des bras court s’appelle les télomères. Régions télomérique. Centromérique pour designer la région ou les bras court et les bras long se croise (à la croisé).
Cette section centrale du chromatide est divisée en trois classes. Classe 1 et 2 et 3.
Les classes sont ensuite diviser en gène qui sont appelé des locus.
Ceux de classe 1 s’affaire à déterminer nos caractéristiques uniques selon leur grand nombre de variante. Ces locus très intéressants sont exprimés à la surface (membrane) de toutes les cellules de l’organise. (sans exception, toute). Et c’est ceci qui caractérise un individu.
Ceux de la classe 2 sont des inscriptions génétiques qui agissent au niveau des globule blanc, des lymphocytes et des macrophages.
Ce qui détermine la caractérisation de quelqu’un se fait à l’aide de certain locus présent dans les deux classes. Et ces locus viennent dans la vie avec plusieurs variantes. les variantes sont maintenant avec la science comptabilisée dans une grande liste. Par exemple un certain locus peut exprimer 7 variantes, et un autre 9 variantes et un autres 24 variantes et un autre 29 et un autres 50 et un autre 10.
Les variantes des locus sont appelées : les allèles.
Alors les allèles sont des gènes qui caractérise des réactions immunitaires spécifique membranaire cellulaire de chacune de nos cellules.
C’est toutes les différentes mixtures possibles de tous ces différentes variantes qui détermine nos capacités immunitaires.
Mais encore… comment ça marche les allèles?
Les allèles sont inscrits sur chacun des deux chromatides (les bras courts) Si les allèles de la partie centrale de chaque chromatide du chromosome 6 ont pareils dans notre génétique il y a là, homozygotie, et s’ils sont différent c’est hétérozygotie.
Alors avec tout cela, en conclusion, s’il y a tendance à l’homozygotie dans l’expression génétique d’un individu, alors cet individu est plus susceptible aux maladies et à l’inverse si l’expression est plus caractérisée par l’hétérozygotie l’individu y sera plus résistant !!!
Ceux de la classe 3 font encore autre chose d’autant épatant!
C’est fou cette machine lâ!
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