PARASITES  DerniÚre mise à jour : le 1 avril 2025 Auteur : Inuk Thériault
En biologie, un parasite est un organisme vivant qui tire profit d’un autre organisme vivant, appelĂ© hĂŽte, en lui causant gĂ©nĂ©ralement des dommages.
On va alors parler de parasite et de cure de detox de parasite.
Ces fameux vers, ils sont partout, sur tout, dans tout, autour de tous, on en mange, on en respire, on en bois. Alors au courant de la vie on fait face a cela quâon le veuille ou pas. Tout le monde en a une certaine quantitĂ© dans son corps. Câest normal et câest comme ça la vie. Ăa devient problĂ©matique lorsque câest la prolifĂ©ration.
Les humains offre refuge a plusieurs diffĂ©rents parasites : vers, champignons, virus, bactĂ©ries, ils font partie de notre Ă©volution. Malheureusement les parasites sont omniprĂ©sents et ils vivent dessus et dans tous les organismes vivants et les humains aussi. Tout ce quâil Ă faire câest dâĂȘtre au courant et apprendre les techniques pour les gĂ©rer au courant de notre vie.
Avoir des parasites, câest commun ?
Oui, les parasites et les infections parasitaires sont frĂ©quents. Ils affectent des millions de millions personnes dans le monde entier. De nombreuses personnes peuvent ne pas remarquer qu’elles sont infectĂ©es car elles prĂ©sentent peu de symptĂŽmes. D’autres peuvent souffrir gravement. Il y a des pays ou câest pire dâautre un peu moins. Mais comme on va le voir sa touche tous les humains, les animaux et les plantes de la planĂšte.
Que sont les parasites?
Les parasites sont des organismes qui vivent dans, sur ou avec un autre organisme (hĂŽte). Ils se nourrissent, se dĂ©veloppent ou se multiplient d’une maniĂšre qui nuit Ă leur hĂŽte. Cependant, ils ont besoin de leur hĂŽte pour leur survie. Pour cette raison, ils tuent rarement leur hĂŽte, mais ils induisent sur long terme des dommages sur les tissus, les organes, la digestion, lâimmunitĂ©, le cerveau etc. En plus de privĂ© le corps de certain nutriment essentielles, ils excrĂštent des dĂ©chets azotĂ©s sous forme d’ammoniaque qui acidifie et augmente la toxĂ©mie du corps. Le corps en vient Ă dĂ©velopper des maladies qui elles, peuvent ĂȘtre mortelle.
Comment me vérifier pour les parasites?
Pour vĂ©rifier la prĂ©sence de parasites, vous pouvez consulter un mĂ©decin qui pourra effectuer un examen physique et prescrire des tests. Ces tests peuvent inclure des analyses de selles, des analyses de sang, des examens d’imagerie et une endoscopie.
Ă quelle frĂ©quence dois-je me vermifuger ? Google dit : Se vermifuger une fois tous les six mois : Les vers sont malheureusement un problĂšme trĂšs courant et normal chez les enfants et les adultes. Les vers sont partout et contaminent les espaces publics tels que les Ă©coles et les terrains de jeux. Ă partir de l’Ăąge de deux ans, les enfants et les adultes devraient ĂȘtre vermifugĂ©s une fois tous les six mois.
Comment dois-je contrĂŽler leur prolifĂ©ration dans mon corps? Alors que nous savons quâil se nourrissent de champignon, de levure, de bactĂ©rie, du putrĂ©faction etc. il est intelligent dâadopter une alimentation qui contrĂŽlera la prolifĂ©ration de champignon, de levure, et de mauvaise bactĂ©rie et de putrĂ©faction, ceci rĂ©duira la nourriture pour ces parasites et donc empĂȘchera leur prolifĂ©ration. On va voir plus loin dans le texte comment faire : quel habitude alimentaire Ă prendre et quel mode de vie sain Ă entretenir.
On va voir dans le prochain boute de texte quâil y a plusieurs diffĂ©rents parasites qui peuvent venir parasiter notre corps, il y a des images et câest un peu dĂ©geu mais câest bien la rĂ©alitĂ©.
Endoparasites : (Endo = Ă lâintĂ©rieur)
Protozoaires :
- Blastocytose intestinale: microscopie directe des selles; mondiale: l’un des parasites humains les plus courants, rĂ©gions en dĂ©veloppement : infecte 40 Ă 100 % de la population totale, consommation d’aliments contaminĂ©s par des matiĂšres fĂ©cales humaines ou animales infectĂ©es.
- Cryptosporidiose: intestins; selles; rĂ©pandue; ingestion d’oocystes (sporulĂ©s), certaines espĂšces sont zoonotiques (par exemple : contamination fĂ©cale bovine).
- Giardiose: intestin, selles, mondiale, ingestion d’eau contenant des matiĂšres fĂ©cales de cerfs ou de castors.
- Sarcocystose: intestin, muscle; biopsie musculaire; rĂ©pandue; ingestion de viande de bĆuf/porc crue ou insuffisamment cuite contenant des sarcocystes.
- Toxoplasmose: yeux, cerveau, cĆur, foie, analyse du sang, mondiale : l’un des parasites humains les plus courants ; on estime qu’elle infecte entre 30 et 50 % de la population mondiale, ingestion de porc/agneau/chĂšvre cru ou insuffisamment cuit contenant des bradyzoĂŻtes de Toxoplasma, ingestion de lait cru contenant des tachyzoĂŻtes de Toxoplasma, ingestion d’eau, d’aliments ou de sol contaminĂ©s par des oocystes prĂ©sents dans les excrĂ©ments de chat depuis plus d’un jour.
Helminthes (vers)
Les organismes helminthes (également appelés helminthes ou vers intestinaux) comprennent :
Cestodes: (Tapeworms en anglais)
- Ténia-Diphyllobothriose: intestins; analyse du sang et des selles (microscope), Europe, Japon, Ouganda, Pérou, Chili
- TĂ©nia-Ăchinococcose: foie, poumons, rein, rate; imagerie des kystes hydatiques dans le foie, les poumons, les reins et la rate; monde entier dans les zones de pĂąturage, en tant qu’hĂŽte intermĂ©diaire, ingestion de matĂ©riel contaminĂ© par les excrĂ©ments d’un carnivore ; en tant qu’hĂŽte dĂ©finitif, ingestion de viande crue (abats) d’un herbivore.
- TĂ©nia du bĆuf: cerveau, muscle, Ćil (kystes dans la conjonctive/chambre antĂ©rieure/espace sous-rĂ©tinien), selles, sang, imagerie des kystes dans le cerveau ou tout autre tissu mou, Asie, Afrique, AmĂ©rique du Sud, Europe du Sud, AmĂ©rique du Nord. en tant qu’hĂŽte dĂ©finitif : ingestion de porc insuffisamment cuit ; en tant qu’hĂŽte intermĂ©diaire, ingestion de matĂ©riel contaminĂ© par des matiĂšres fĂ©cales humaines d’une personne portant la forme adulte.
Trématodes:
- Douve du foie chinoise: voies biliaires, 1,5 million de personnes en Russie, consommation de poisson cru, légÚrement salé ou congelé infecté.
Nématodes : (Pinworms et Roundworms en anglais)
- Anisakiase: réaction allergique, biopsie, ingestion de poisson cru, calmar, seiche, pieuvre.
- Ankylostomes: Ces vers s’accrochent Ă la paroi intestinale et peuvent provoquer une anĂ©mie.
- Ascaris â Pneumonie parasitaire: Intestins, foie, appendice, pancrĂ©as, poumons; analyses des selles; frĂ©quente dans les rĂ©gions tropicales et subtropicales. Les ascaris sont des vers ronds plus gros que les oxyures et peuvent causer des problĂšmes de santĂ© plus graves.
- Trichinose: muscle, rĂ©gion pĂ©riorbitaire, intestin grĂȘle; analyse du sang, ingestion de porc insuffisamment cuit.
- TrichocĂ©phalose: gros intestin, anus; analyses des selles (Ćufs); frĂ©quente dans le monde entier; ingestion accidentelle d’Ćufs dans des produits secs tels que les haricots, le riz et diverses cĂ©rĂ©ales ou dans le sol contaminĂ© par des matiĂšres fĂ©cales humaines.
- Oxyure â Enterobiose: intestins, anus; analyse des selles; test adhĂ©sif autour de l’anus; rĂ©pandue mondialement; rĂ©gions tempĂ©rĂ©es.

Oxyures, Ćufs

Oxyures, Adultes
Ectoparasites (Ecto = en dehors)
- Pou de tĂȘte, pou du corps, pou du pubis : follicules pileux, peau, rĂ©gion pubienne, cils; identification visuelle au microscope; rĂ©pandu dans le monde entier, contact peau Ă peau tel que les activitĂ©s sexuelles et le partage de vĂȘtements ou de literie.
- Demodex : follicules pileux des mammifÚres, mondial, pandémie.
- Acarien rouge, acarien rouge des volailles : oiseaux nicheurs, aviculture; mondial.
- Gale: peau, mondial.
- Puce: peau, mondial.
- Punaise de lit: peau, mondial.
- Tique: peau, mondial.
- Moustique: peau, mondial.
- Rat: peau, mondial.
- Souris: peau, mondial.



Ici, voyons, plus en détails, un type de vers intestinaux appelé : Oxyure (Pinworm en anglais) qui se classe sous la catégorie: Nématodes sous la catégorie : Helminthes(vers).
Parasite â Helminthes â NĂ©matodes â Oxyures.
Les nĂ©matodes, Ă©galement appelĂ©s vers ronds, sont un type de ver cylindrique non segmentĂ©. Ils ont une forme allongĂ©e et pointue aux deux extrĂ©mitĂ©s. Les oxyures sont l’un des nombreux types de nĂ©matodes qui peuvent infecter les humains.
L’oxyurose (infection Ă oxyures), Ă©galement connue sous le nom d’Enterobiose.

Les symptĂŽmes :
- Des dĂ©mangeaisons anales (prurit) principalement en fin de journĂ©e et la nuit : les sĂ©crĂ©tions de l’oxyure sont un puissant irritant.
- Des irritations anales dans la rĂ©gion de lâanus dues aux grattages : la peau peut ĂȘtre abĂźmĂ©e et se surinfecter.
- Des trouble du sommeil, cauchemars, irritabilité, grincement de dent
- Des douleurs abdominales légÚres (pas systématiquement)
Les pires symptĂŽme sont ceux qui se fondent avec dâautre problĂšme de santĂ© comme la mauvaise digestion, manque de force digestive (enzyme), systĂšme immunitaire affaiblie, aciditĂ© et inflammation dans le tube digestif qui cause des microbiotes affaiblies, le sibo, et intestin permĂ©able. Vient la dĂ©nutrition et les carences en minĂ©raux et vitamines du a cette mauvaise digestion.
Certaines personnes infectées ne présentent aucun symptÎme.
Les infections Ă oxyures sont frĂ©quentes dans toutes les rĂ©gions du monde. Elles sont le type d’infection vermineuse le plus courant en Europe occidentale, en Europe du Nord et aux Ătats-Unis.
Les enfants d’Ăąge scolaire sont les plus frĂ©quemment infectĂ©s.
Aux Ătats-Unis, environ 20 % des enfants dĂ©velopperont des oxyures Ă un moment donnĂ©.
Les taux d’infection au sein des groupes Ă haut risque peuvent atteindre 50 %.
On pense que les oxyures ont affectĂ©s les humains tout au long de l’histoire.
AprĂšs le dĂ©pĂŽt initial des Ćufs prĂšs de l’anus, ils sont facilement transmis Ă d’autres surfaces par contamination.
La surface des Ćufs est collante lorsqu’ils sont pondus, et les Ćufs sont facilement transmis de leur dĂ©pĂŽt initial prĂšs de l’anus aux ongles, aux mains, aux vĂȘtements de nuit et Ă la literie.
De lĂ , les Ćufs sont ensuite transmis Ă la nourriture, Ă l’eau, aux meubles, aux jouets, aux appareils sanitaires et Ă d’autres objets.
Les animaux de compagnie domestiques transportent souvent les Ćufs dans leur fourrure, sans pour autant ĂȘtre infectĂ©s.
La poussiĂšre contenant des Ćufs peut devenir aĂ©roportĂ©e et se disperser largement lorsqu’elle est dĂ©tachĂ©e des surfaces, par exemple lors du secouage des draps et de la literie. Par consĂ©quent, les Ćufs peuvent pĂ©nĂ©trer dans la bouche et le nez par inhalation et ĂȘtre avalĂ©s plus tard.
Bien que les oxyures ne se multiplient pas strictement Ă l’intĂ©rieur du corps de leur hĂŽte humain, certaines larves d’oxyures peuvent Ă©clore sur la muqueuse anale et migrer vers le haut de l’intestin et revenir dans le tractus gastro-intestinal de l’hĂŽte d’origine. Ce processus est appelĂ© rĂ©tro infection. Lorsque cette rĂ©tro infection se produit, elle entraĂźne une charge parasitaire importante et assure la poursuite de l’infestation Ă oxyures. MalgrĂ© la durĂ©e de vie limitĂ©e, de 13 semaines, des oxyures individuels, l’auto-infection (infection de l’hĂŽte d’origine Ă lui-mĂȘme), soit par la voie anus-bouche, soit par rĂ©tro infection, permet aux oxyures d’habiter le mĂȘme hĂŽte indĂ©finiment.
Le cycle de vie commence par l’ingestion dâĆufs. Les Ćufs Ă©closent dans le duodĂ©num (premiĂšre partie de l’intestin grĂȘle). Les larves d’oxyures Ă©mergentes croissent rapidement pour atteindre une taille de 140 Ă 150 micromĂštres, et migrent Ă travers l’intestin grĂȘle vers le cĂŽlon. Au cours de cette migration, elles muent deux fois et deviennent adultes. Les femelles survivent de 5 Ă 13 semaines et les mĂąles environ 7 semaines. Les oxyures mĂąles et femelles s’accouplent dans l’ilĂ©on (derniĂšre partie de l’intestin grĂȘle), aprĂšs quoi les oxyures mĂąles meurent gĂ©nĂ©ralement, et sont Ă©vacuĂ©s avec les selles. Les oxyures femelles s’installent dans l’ilĂ©on, le cĂŠcum (dĂ©but du gros intestin), l’appendice et le cĂŽlon ascendant, oĂč elles s’attachent Ă la muqueuse et ingĂšrent le contenu colique. Presque tout le corps d’une femelle est rempli d’Ćufs. Les estimations du nombre d’Ćufs dans un oxyure femelle varient d’environ 11 000Ă 16 000. Le processus de ponte commence environ cinq semaines aprĂšs l’ingestion initiale d’Ćufs d’oxyures par l’hĂŽte humain. Les oxyures femelles migrent Ă travers le cĂŽlon vers le rectum Ă une vitesse de 12 Ă 14 centimĂštres par heure.
Elles Ă©mergent ensuite de l’anus et, tout en se dĂ©plaçant sur la peau prĂšs de l’anus, et dĂ©posent leurs Ćufs soit en se contractant et en expulsant les Ćufs, soit en mourant puis en se dĂ©sintĂ©grant, soit en se rompant en raison du grattage de l’hĂŽte sur le ver. AprĂšs avoir pondu les Ćufs, la femelle devient opaque et meurt. La raison pour laquelle la femelle Ă©merge de l’anus est d’obtenir l’oxygĂšne nĂ©cessaire Ă la maturation des Ćufs.
Les principales mesures consistent à garder les ongles courts et à se laver soigneusement les mains et les doigts, surtout aprÚs la défécation et avant les repas.
Il est Ă©galement fortement recommandĂ© de prendre une douche tous les matins pour Ă©liminer les Ă©ventuels Ćufs restants sur la peau. Dans des conditions idĂ©ales, les couvertures de lit, les vĂȘtements de nuit et les serviettes de toilette doivent ĂȘtre changĂ©s quotidiennement et les vĂȘtements et le linge de maison doivent ĂȘtre lavĂ©s Ă l’eau chaude puis placĂ©s dans un sĂšche-linge chaud afin de tuer les Ćufs. Les enfants peuvent porter des gants pendant leur sommeil et le sol de la chambre Ă coucher doit ĂȘtre maintenu propre. Une dĂ©sinfection rĂ©guliĂšre des surfaces de la cuisine et de la salle de bains contribuera Ă©galement Ă prĂ©venir la propagation. Les aliments doivent ĂȘtre couverts pour limiter la contamination par les Ćufs de parasites transportĂ©s par la poussiĂšre. Il n’est pas recommandĂ© de secouer les vĂȘtements et la literie car les Ćufs peuvent se dĂ©tacher et se propager ou de partager les vĂȘtements et les serviettes. Il est Ă©galement dĂ©conseillĂ© de se ronger les ongles et de se sucer les doigts.
Le traitement se fait gĂ©nĂ©ralement par deux doses de mĂ©dicaments tels que le mĂ©bendazole, le pyrantel-pamoate ou l’albendazole Ă deux semaines d’intervalle. Toutes les personnes vivant avec ou s’occupant d’une personne infectĂ©e doivent ĂȘtre traitĂ©es en mĂȘme temps. Il est recommandĂ© de laver tous les articles personnels Ă l’eau chaude aprĂšs chaque dose de mĂ©dicament. Un bon lavage des mains, un bain quotidien le matin et le changement quotidien de sous-vĂȘtements peuvent aider Ă prĂ©venir la rĂ©infection.
Cependant, les rĂ©infections sont frĂ©quentes quel que soit le mĂ©dicament utilisĂ©. L’Ă©limination totale du parasite dans un mĂ©nage peut nĂ©cessiter des doses rĂ©pĂ©tĂ©es de mĂ©dicaments pendant un an ou plus.
Ătant donnĂ© que les mĂ©dicaments tuent les vers adultes mais pas les Ćufs, un premier nouveau traitement est recommandĂ© au bout de deux semaines.
De plus, si un membre du mĂ©nage propage les Ćufs Ă un autre, il faudra deux ou trois semaines avant que ces Ćufs ne deviennent des vers adultes et soient donc traitables.
Les infections asymptomatiques, souvent chez les jeunes enfants, peuvent servir de rĂ©servoirs d’infection, et par consĂ©quent, l’ensemble du mĂ©nage doit ĂȘtre traitĂ©, qu’il y ait ou non des symptĂŽmes.

Les composĂ©s benzimidazoliques, l’albendazole (noms de marque par exemple : Albenza, Eskazole, Zentel et Andazol) et le mĂ©bendazole (noms de marque par exemple : Ovex, Vermox, Antiox et Pripsen) sont les plus efficaces. Ils agissent en inhibant la fonction des microtubules chez les oxyures adultes, provoquant une dĂ©plĂ©tion du glycogĂšne, ce qui affame efficacement le parasite. Une seule dose de 100 milligrammes de mĂ©bendazole avec une rĂ©pĂ©tition aprĂšs deux semaines est considĂ©rĂ©e comme la plus sĂ»re et est gĂ©nĂ©ralement efficace avec un taux de guĂ©rison de 96 %. Le mĂ©bendazole n’a pas d’effets secondaires graves, bien que des douleurs abdominales et une diarrhĂ©e aient Ă©tĂ© rapportĂ©es.

Le pyrantel pamoate (Ă©galement appelĂ© pyrantel embonate, noms de marque par exemple : Reese’s Pinworm Medicine, Pin-X, Combantrin, Anthel, Helmintox et Helmex) tue les oxyures adultes par blocage neuromusculaire, et est considĂ©rĂ© comme aussi efficace que les composĂ©s benzimidazoliques et est utilisĂ© comme mĂ©dicament de deuxiĂšme intention. Le pyrantel pamoate est disponible en vente libre et ne nĂ©cessite pas d’ordonnance.


Les oxyures situĂ©s dans le systĂšme gĂ©nito-urinaire (dans ce cas, la rĂ©gion gĂ©nitale fĂ©minine) peuvent nĂ©cessiter d’autres traitements mĂ©dicamenteux.
Je nâai pas de mal Ă dire des mĂ©dicament de pharmacie pour les vers. Je crois quâil est nĂ©cessaire de les utiliser Ă tous les 6 mois mais lorsque lâon sait que les oxyures sont trĂšs coriaces et souvent attachĂ©s aux parois intestinale cachĂ© dans des croute de matiĂšre fĂ©cale, un petit traitement de pyrantel ou de mĂ©bendazole au 6 mois (sur 2 semaines) nâĂ©liminera pas toute lâinfection dâune seul itĂ©ration. Il est impĂ©ratif de toujours contrĂŽler leur dĂ©veloppement tout au long de la vie avec une bonne alimentation et un mode de vie sain. La consommation quotidienne dâail et de glou de girofle par exemple ainsi quâune alimentation pauvre en sucre et en carbs est recommandĂ©e. Le prochain paragraphe explique plus en dĂ©tails le comment et quoi faire pour les Ă©liminer et contrĂŽler quotidiennement.
QUOI FAIRE!
Controller leur prolifération !
Prenez un médicament de pharmacie tous les 6 mois (sur 2 semaine)
Faire une cure de parasites avec les plantes antiparasitaire une ou deux fois par années
Prenez ces habitudes:
- Habitude alimentaire faible en carbs
- Activité physique
- Tisane et ingestion de plantes : Digestive, Bactéricide, Parasiticide, Antiseptique, Antiputride, Vermifuge.
- Prendre une douche chaque matin et lâavez-vous la rĂ©gion anale avec du savon.
- Ne pas se gratter lâanus
- Se laver les mains souvent
- Gardez la maison hyper propre : passer la balayeuse souvent, les toilettes propres, les plancher, les surfaces, les meubles, les comptoirs etc.
- Les jouets, les manette, outils, tout autres objets que tous le monde touche comme les fameuses poigné de porte!
- Tenir nos ongles cours
- Laver notre linge et literie Ă lâeau chaude avec trĂšs bon sĂ©chage, ne pas mĂ©langer le linges dâun personne Ă lâautre prĂ©fĂ©rablement
- Ne pas utiliser une serviette ou dĂ©barbouillette plus dâune fois
- Ne pas partager les serviettes
- Laver les toilettes avec des linges de papier jetable
- Ne pas mettre ses doigts dans la bouche
- Avez une bonne hygiĂšne lorsque vous la cuisine et lorsque vous manger.
Un rĂ©gime de nettoyage antiparasitaire aide Ă tuer les organismes nuisibles vivant dans votre systĂšme digestif en combattant les mauvaises bactĂ©ries et les champignons dont ces parasites se nourrissent. Ce type de nettoyage implique de suivre un rĂ©gime sans sucre ni cĂ©rĂ©ales, assez proche d’un rĂ©gime palĂ©o a moins de 100 grammes de carbs par jour et qui souvent sâĂ©tire vers un rĂ©gime Keto a moins de 30 grammes de carbs par jours. Limiter votre consommation de fruits, voire de ne pas en manger du tout. Pour le dĂ©jeuner, faites une grosse salade avec des Ćufs et pour le dĂźner, prĂ©parez de la viande biologique avec double portions de lĂ©gumes, en Ă©vitant complĂštement toute forme de cĂ©rĂ©ales ou de sucre.
Voici quelques plantes digestive qui préviennent la prolifération de champignon et la prolifération parasitaire.
Ail: Antibactérien, Antiparasitaire, Anti-infectieux, Digestif, Antidysentrique, Bactériostatique, Antiseptique
Calendula: Bactéricide, Antiseptique, Antifongique, Anthelminthique
Camomille : Digestive, Antiputride
Cayenne: Digestive, Bactéricide, Parasiticide, Antiseptique
Chou: détoxifiante, Régénératrice, Désinfectant, Dépuratif, Vermifuge, Aseptisant
Menthe Poivré: Vermifuge, Digestive, Antiseptique, Antimicrobiennes, Digestive
Raifort: Vermifuge, Purgatif, Stimulant des processus de nutrition
Romarin: Bactéricide, Vermifuge, Antiseptique
Thym: Vermifuge, Antiseptique, Antibiotique
Cure de parasite : Une ou deux fois par année
COQUILLES DE NOIX NOIRE (du noyer noir – juglans nigra) UtilisĂ©es par les AmĂ©rindiens comme remĂšde antiparasitaire, antibactĂ©rien, antiviral et antifongique. Leurs principes actifs sont la juglone, les tanins et l’iode. (poudre – 250 milligrammes 3 fois par jour) (la teinture est plus efficace) – A Ă©tĂ© utilisĂ©e historiquement depuis des millĂ©naires pour le traitement des parasites. (bien avant les mĂ©dicament de pharmacie qui nâexiste que seulement depuis 100 ans)
ABSINTHE (de l’armoise – artemisia absinthum) (200 milligrammes 3 fois par jour) Connu pour ses propriĂ©tĂ©s vermifuges, il aide les personnes ayant une digestion faible et peu active. Il augmente l’aciditĂ© de l’estomac et la production de bile. Il rĂ©duit les ballonnements et les flatulences.
CLOUS DE GIROFLE (de l’arbre Ă clous de girofle – eugenia caryophyllata) PropriĂ©tĂ©s antiparasitaires, antifongiques, antivirales et anti-inflammatoires. (500 milligrammes 4 fois par jour ou 4 tasses de tisane) (Huile essentielle de glou de girofle mĂ©langer Ă de lâhuile dâolive ou de lâhuile coco : 4-5 goutte dans une cuillĂšre Ă soupe 3 fois par jour. Contient de fortes quantitĂ©s d’eugĂ©nol, un composĂ© qui a prouvĂ© qu’il pouvait tuer les organismes parasitaire.
Ces trois herbes doivent ĂȘtre utilisĂ©es ensemble. Les coquilles de noix noire et l’absinthe tuent les adultes et les clous de girofle tuent les Ćufs. Vous ne vous dĂ©barrasserez des parasites que si vous les utilisez ensemble. Si vous ne tuez que les adultes, les stades immatures et les Ćufs se dĂ©velopperont bientĂŽt en nouveaux adultes. Si vous ne tuez que les Ćufs, les millions de stades dĂ©jĂ prĂ©sents dans votre corps se dĂ©velopperont bientĂŽt en adultes et produiront davantage d’Ćufs. Ils doivent ĂȘtre utilisĂ©s ensemble en tant que traitement unique.
Il faudra ĂȘtre assidue pendant minimum 16 semaines, câest-Ă -dire deux cycles de lune complet parce que les Ćufs de parasite Ă©cloront aprĂšs une pleine lune et il est nĂ©cessaire de tout Ă©liminer, les Ćufs, les larves et les adultes.
Et quotidiennement :
Huile de glou de girofle (500 milligrammes 4 fois par jour ou 4 tasses de tisane)
Huile d’origan (500 milligrammes 4 fois par jour) – L’huile d’origan a des effets Ă la fois antibactĂ©riens et antiparasitaires.
Ail et oignons – Ces deux lĂ©gumes, qui stimulent le systĂšme immunitaire, ont des effets antiparasitaires grĂące Ă leurs composĂ©s soufrĂ©s et Ă leurs antioxydants qui peuvent dĂ©truire les organismes pathogĂšnes. Lâail contient de l’allicine, qui a montrĂ© une certaine activitĂ© antiparasitaire dans des Ă©tudes en laboratoire.
Graines de citrouille – Un autre aliment qui peut ĂȘtre trĂšs bĂ©nĂ©fique pour combattre les organismes nuisibles dans votre systĂšme gastro-intestinal est les graines de citrouille, ainsi que l’huile de graines de citrouille. Les graines de citrouille soutiennent la santĂ© gastro-intestinale car elles contiennent certains antioxydants et autres composĂ©s protecteurs, tels que les triterpĂšnes tĂ©tracycliques et les cucurbitines, qui peuvent paralyser les vers et les empĂȘcher de survivre dans les parois intestinales.
On veut aussi :
- Activité physique
- Charbon Activé
- Psyllium
- Légumes lactofermenté
- AloĂšs verra (de vrai plantes fraiches)
- Chlorophylle
- Chou
- Eau
Les huiles de coco et MCT sont trĂšs antiparasitaire! Si vous ne cuisiner pas avec de lâhuile de coco, vous pouvez en prendre un cuillĂšre a soupe tous les jour Ă jeun le matin pour câEst propriĂ©tĂ© antiparasites. Et on va aussi vouloir nettoyer le colon en mĂȘme temps, Super hyper important. On voudra se dĂ©pĂȘcher Ă faire sortir tous cela aux plus vite. Psyllium, Fibre, Exercice, Eau.
Ceci conclu le documents, les parasites sont mĂ©connus et mĂȘme tabous, mais ça ne devrait ĂȘtre le cas, ils sont rĂ©ellement prĂ©sents et les humains sont constamment entrain de se dĂ©fendre contres eux. Le nombre de problĂšmes de santĂ© qui sont dĂ» Ă trainer trop de vers dans ses intestins est trĂšs large mĂȘme quâont pourrais conclure que la plupart des maladies sont causĂ© par les parasites. Ils empĂȘchent de bien digĂ©rer et dâobtenir comme il faut les nutriments de notre nourriture, empĂȘchent dâavoir un microbiote fort, empĂȘchent et accaparent tellement le systĂšme immunitaire quâon ne dĂ©barrasse plus des grippes et des rhume. Ils crĂ©ent de lâaciditĂ© et de lâinflammation qui favorise un milieux propice pour les disfonctionnement de la rĂ©plication de nos ADN. Saviez que de nombreuses personnes ont guĂ©ri leur cancer avec des cures antiparasites intense.
Comme il le faisait dans le temps des romains: quand quelquâun Ă©tait maigre ou malade, il le soignait premiĂšrement pour les vers, leur logique Ă©tait logique.
Dans ce dernier bout de texte, jây vais plus en dĂ©tails sur les nĂ©matodes, pour les mordus de connaissance.
Les oxyures, comme on lâavait dit, se classent dans la catĂ©gorie des nĂ©matodes, voyons plus en dĂ©tails quâest quâun nĂ©matodes en gĂ©nĂ©ral. On va apprendre que les nĂ©matodes sont partout, quâils sont parasite pas juste des parasites humains mais des plantes et des animaux aussi, quâil y a des tonnes de diffĂ©rentes sortes et de grosseur de ce type de vers.
Les nĂ©matodes sont des animaux. Plus prĂ©cisĂ©ment, les nĂ©matodes sont des vers ronds non segmentĂ©s, ce qui les distingue de leurs proches parents, les vers ronds segmentĂ©s, dont certains sont connus sous le nom de vers de terre. Les nĂ©matodes adultes peuvent varier en longueur de 0,08 mm Ă prĂšs de 2,74 mĂštres. Les nĂ©matodes se trouvent couramment dans le sol ou dans l’eau, y compris les ocĂ©ans. Ce sont les animaux les plus abondants sur Terre. Une pelletĂ©e de terre de jardin peut contenir jusqu’Ă un million de nĂ©matodes ou plus. Une Ă©tude sur la biodiversitĂ© animale rĂ©alisĂ©e en 2013 a suggĂ©rĂ© qu’il existe plus de 25 000 espĂšces de nĂ©matodes.
Les nĂ©matodes se sont adaptĂ©s avec succĂšs Ă presque tous les Ă©cosystĂšmes : de l’eau de mer (salĂ©e) Ă l’eau douce, aux sols, des rĂ©gions polaires aux tropiques, ainsi que des plus hautes aux plus basses altitudes. Ils sont omniprĂ©sents dans les environnements d’eau douce, marins et terrestres, oĂč ils surpassent souvent les autres animaux en nombre d’individus et d’espĂšces, et se trouvent dans des endroits aussi divers que les montagnes, les dĂ©serts et les fosses ocĂ©aniques. Ils se trouvent dans toutes les parties de la lithosphĂšre terrestre, mĂȘme Ă de grandes profondeurs, de 0,9 Ă 3,6 km (3 000 Ă 12 000 pieds) sous la surface de la Terre dans les mines d’or d’Afrique du Sud. Ils reprĂ©sentent 90 % de tous les animaux du fond des ocĂ©ans. Au total, 4,4 Ă 1020 nĂ©matodes habitent la couche arable de la Terre, soit environ 60 milliards pour chaque humain, les densitĂ©s les plus Ă©levĂ©es Ă©tant observĂ©es dans la toundra et les forĂȘts borĂ©ales. Leur dominance numĂ©rique, dĂ©passant souvent un million d’individus par mĂštre carrĂ© et reprĂ©sentant environ 80 % de tous les animaux individuels sur Terre, leur diversitĂ© de cycles de vie et leur prĂ©sence Ă divers niveaux trophiques indiquent un rĂŽle important dans de nombreux Ă©cosystĂšmes. Ils jouent un rĂŽle crucial dans les Ă©cosystĂšmes polaires. Les quelque 2 271 genres sont rĂ©partis en 256 familles. Les nombreuses formes parasitaires comprennent des agents pathogĂšnes chez la plupart des plantes et des animaux. Un tiers des genres se prĂ©sentent sous forme de parasites des vertĂ©brĂ©s ; environ 35 espĂšces de nĂ©matodes sont des parasites humains.
La plupart des espĂšces de nĂ©matodes sont considĂ©rĂ©es comme bĂ©nĂ©fiques car ils font une sorte de rĂ©gulation du fait quâils se nourrissent de bactĂ©ries, de champignons, algues, matiĂšres fĂ©cales, organisme morts et d’autres animaux ou organisme vivant dans le sol ou dans l’eau. Certaines espĂšces sont trĂšs spĂ©cifiques quant aux types d’aliments dont elles se nourrissent, tandis que d’autres sont considĂ©rĂ©es comme omnivores et peuvent potentiellement se nourrir d’une large gamme d’aliments.
Plusieurs espĂšces de nĂ©matodes sont des parasites de plantes : Les nĂ©matodes phytoparasites (phyto = plantes) partagent trois caractĂ©ristiques communes. PremiĂšrement, ils sont tous microscopiques, les adultes mesurant de 0,42 mm Ă 6,35 mm de pouce de long environ. DeuxiĂšmement, ce sont des parasites obligatoires des plantes, ce qui signifie qu’ils doivent avoir des tissus vĂ©gĂ©taux vivants pour se nourrir afin de se dĂ©velopper et de se reproduire. Enfin, ils possĂšdent tous des stylets, qui sont des structures similaires Ă des aiguilles hypodermiques que ces nĂ©matodes utilisent pour percer les cellules vĂ©gĂ©tales et en extraire le contenu. Tous les nĂ©matodes phytoparasites passent au moins une partie de leur cycle de vie dans le sol, bien que certains se trouvent principalement dans les tissus racinaires ou foliaires.
Chaque espĂšce de plante possĂšde au moins une espĂšce de nĂ©matode qui la parasite. La majoritĂ© des nĂ©matodes phytoparasites se nourrissent des racines (environ 95 % des espĂšces). Certains nĂ©matodes se nourrissent Ă l’intĂ©rieur des feuilles. Ătant donnĂ© que les nĂ©matodes phytoparasites doivent avoir des tissus hĂŽtes vivants pour se nourrir, se dĂ©velopper et se reproduire, si l’hĂŽte meurt, les nĂ©matodes se disperseront Ă la recherche d’autres plantes ou mourront Ă©galement.
Les nĂ©matodes sont similaires aux insectes en ce qu’ils possĂšdent un exosquelette. Cette peau doit ĂȘtre mue pour qu’un nĂ©matode puisse grandir. Le cycle de vie typique d’un nĂ©matode phytoparasites comprend un Ćuf, 4 stades prĂ©-adultes (appelĂ©s juvĂ©niles) et un adulte. Les femelles sont les plus destructrices ; certains mĂąles ne se nourrissent pas. Le cycle de vie d’un nĂ©matode phytoparasites peut ĂȘtre complĂ©tĂ© en aussi peu que deux semaines ou aussi longtemps que deux ans selon l’espĂšce et la tempĂ©rature. Les nĂ©matodes sont des animaux Ă sang froid, de sorte que la tempĂ©rature joue un rĂŽle crucial dans le dĂ©veloppement. Contrairement aux nĂ©matodes phytoparasites, certains nĂ©matodes bactĂ©riophages peuvent complĂ©ter leur cycle de vie en 48 Ă 72 heures.
Exemple de Nématodes qui parasite certain légumes :
NĂ©matodes du pin (Paratylenchus hamatus et P. projectus), La carotte et le cĂ©leri sont sensibles aux nĂ©matodes du pin. Des donnĂ©es suggĂšrent que la betterave sucriĂšre peut ĂȘtre endommagĂ©e par les nĂ©matodes du pin, de sorte que la betterave rouge et le navet peuvent Ă©galement ĂȘtre sensibles. D’autres lĂ©gumes servent d’hĂŽtes mais semblent assez tolĂ©rants aux nĂ©matodes du pin.
Gestion des nĂ©matodes phytoparasitaires : La meilleure dĂ©fense contre les nĂ©matodes est de les Ă©viter. Une fois que les champs ou les tissus vĂ©gĂ©taux sont infectĂ©s par des nĂ©matodes, l’Ă©radication n’est gĂ©nĂ©ralement pas une option viable. Les nĂ©matodes sont gĂ©nĂ©ralement transportĂ©s sur de longues distances par les machines, dans le matĂ©riel vĂ©gĂ©tal, les animaux, l’eau ou le vent. Les catastrophes naturelles, telles que les inondations, sont incontrĂŽlables, cependant, les modĂšles de dĂ©placement des machines et l’assainissement de cet Ă©quipement peuvent ĂȘtre contrĂŽlĂ©s. Ces tactiques doivent ĂȘtre prises en compte lorsqu’on essaie d’Ă©viter les nĂ©matodes. En fin de compte, tout ce qui dĂ©place le sol dĂ©place les nĂ©matodes.
Souvent, les champs sont infestĂ©s de nĂ©matodes. Si des Ă©chantillons indiquent la prĂ©sence d’espĂšces pathogĂšnes Ă des niveaux de seuil de dommages, des mesures doivent ĂȘtre prises pour rĂ©duire les densitĂ©s de population de ces organismes. De nombreuses technique de contrĂŽle peuvent ĂȘtre utilisĂ©es pour atteindre cet objectif : ContrĂŽles biologiques, physiques, chimiques, gĂ©nĂ©tiques, culturaux.
Et comme vu plus haut dans le texte, certain autres nĂ©matodes (environ 35 espĂšces) parasitent les humains! Quand mĂȘme fou tout ça!