ToXine de PLantes!đŸ€”

Les toxines trouvées naturellement dans les plantes.    Inuk, mise à jour: juin 2024

Les Anti-nutriments

A l’état brute les plantes contiennent en eux-mĂȘmes des agents qui sont irritant et mĂȘme toxiques pour la consommation humaine.  Les plantes ont Ă©voluĂ© de maniĂšre Ă  se protĂ©ger des insectes et autres prĂ©dateurs, elles ont dĂ©veloppĂ© des insecticides, bactĂ©ricides et fongicides. Ils sont naturels mais puissant. Ils sont Ă  petite quantitĂ© mais, s’avĂšre dommageable pour l’humain aussi. 🙄

  • Acide Phytique
  • Acide Oxalique
  • Lectine
  • SolanacĂ©e
  • Histamine
  • Tanins
  • GoitrogĂšnes
  • PhytoƓstrogĂšnes
  • PhytostĂ©rols
  • Poivre Noir
  • Etc.

De plus, alors que les plantes, fruits et légumes poussent dans la terre ou en hydroponie, ils contiennent des

  • Mycotoxines
  • Parasites
  • BactĂ©ries

L’acide phytique

L’acide phytique est une substance prĂ©sente dans de nombreux aliments Ă  base de plantes. Il est Ă©galement appelĂ© hexaphosphate d’inositol et IP6. Cet acide est le principal moyen de stockage du phosphore dans de nombreuses plantes.

Les gens se rĂ©fĂšrent parfois Ă  l’acide phytique comme un anti-nutriment, car il bloque l’absorption de certains minĂ©raux dans le corps. Lorsque vous mangez des aliments riches en acide phytique, les molĂ©cules se lient Ă  certains minĂ©raux de votre tube digestif et empĂȘche leur absorption !!!

  • Calcium, MagnĂ©sium, Fer, Zinc, Chromium, ManganĂšse sont bloquĂ© par les phytates.

Une fois que cela se produit, votre corps n’a plus accĂšs Ă  ces nutriments. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, plus vous mangez d’acide phytique, plus les minĂ©raux (si important) sont bloquĂ©s dans votre corps.

  • Toutes LĂ©gumineuses
  • Toutes Graines : surtout : sĂ©same, tournesol.
  • Tous Noix
  • Toutes CĂ©rĂ©ales

Les grains entiers contiennent également des lectines et des saponines, qui sont deux autres anti-nutriments.

Ils affectent  l’absorption des nutriments seulement s’ils sont consommĂ©s au mĂȘme repas


Voici les processus qui aident à réduire les phytates des légumineuse, noix et graines avant de les manger:

  • Cuire, Trempage, Germination, Fermentation

Les noix contiennent naturellement une grande quantitĂ© d’acide phytique. Le processus “d’activation” des noix en les trempant dans de l’eau puis en les dĂ©shydratant Ă  basse tempĂ©rature dĂ©compose une partie de l’acide phytique.

Lorsqu’on consomme des quantitĂ©s d’acide phytique dans un repas, on peut bĂ©nĂ©ficier de  consommĂ© de l’ail et de l’oignons au mĂȘme moments car ces aliments augmentent l’absorption de minĂ©raux comme le fer et le zinc.

L’acide oxalique

Toutes les plantes contiennent de l’acide oxalique

L’acide oxalique est utilisĂ© dans les domaines suivants : traitement de surface des mĂ©taux, dĂ©rouillage et polissage du marbre, agent de blanchiment (textile, papier, liĂšge, cuir, bois)

Produit toxique trĂšs violent mais l’acide oxalique est aussi un composant de notre organisme Ă  trĂšs faible proportion dans le sang.

Il est produit directement par l’organisme pour effectuer un travail de fixation du calcium. Le corps produit lui-mĂȘme ce dont il a besoin pour la fixation de son calcium. Il peut ĂȘtre synthĂ©tisĂ© en interne Ă  partir de la vitamine C. Ou il y a problĂšme c’est la surconsommation de ces oxalates dans l’alimentation. S’il se trouve en trop grande quantitĂ© dans l’organisme, l’acide oxalique devient trĂšs toxique pour l’organisme et Ă  trĂšs haute dose l’acide oxalique est mortel (par anurie causĂ©e par la formation de calculs : l’urine ne peut plus ĂȘtre excrĂ©tĂ©e).

Une consommation importante sur une longue pĂ©riode engendre des carences alimentaires, notamment en fer, magnĂ©sium et calcium : en se liant dans l’intestin aux minĂ©raux apportĂ©s par l’alimentation, l’acide oxalique rend ceux-ci non assimilables, ils sont alors Ă©vacuĂ©s et perdu avec les selles.

Certaines possĂšdent des cristaux d’oxalate de calcium insoluble, tandis que d’autres contiennent des acides oxaliques solubles.

Les oxalate de calcium insoluble sont dans le fond des molĂ©cules d’acide oxalique qui se sont dĂ©jĂ  liĂ© a du calcium naturellement. Les cristaux d’oxalate de calcium insoluble sont des cristaux en forme d’aiguilles prĂ©sents dans les cellules des plantes. En gĂ©nĂ©ral, ils ne sont pas absorbĂ©s dans la circulation sanguine, mais ils peuvent provoquer une irritation immĂ©diate de la bouche, de la gorge et du tube digestif lorsqu’on consomme des matiĂšres vĂ©gĂ©tales crues, comme le kiwi. Les plantes riches en cristaux d’oxalate de calcium insoluble ne sont jamais bonnes Ă  consommer. Par exemple, les Ă©pinards contiennent Ă  la fois des oxalates solubles et insolubles ! Les feuilles de betteraves sont Ă©galement riches en oxalates, principalement sous forme de cristaux d’oxalate de calcium insoluble.

L’acide oxalique solubles, en revanche, est digĂ©rĂ©es et passent dans la circulation sanguine, ils se prĂ©cipite en se liant souvent au calcium, ce qui entraĂźne une hypocalcĂ©mie (faibles niveaux de calcium dans le plasma) et qui forme les calcul rĂ©naux et vĂ©sicaux.  L’oxalate de fer, lui, favorisant la formation de cristaux d’acide urique (goutte, arthrites) et d’inflammation.

Selon ce que j’ai lu, vu et entendu, les oxalates sont vraiment Ă  surveiller car ils sont partout dans les plantes et desfois en trĂšs grande quantitĂ©… Sur le long terme il forme des cristaux de calcium qui cause plusieurs maladies et en plus prive le corps de son calcium si prĂ©cieux!

TROP D’OXALATE

  • Épinard 750 (ne pas consommer)
  • Rhubarbe 541(ne pas consommer)
  • Amande 122 pour un onze seulement (ne pas ou presque pas consommer)
  • Persil 100 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Patate douce 97 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Patate 87 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Bettes 77 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Cacao 76 (ne pas ou presque pas consommer)
  • LĂ©gumineuse 75 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Millet 62 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Framboise 48 (ne pas ou presque pas consommer)
  • Lentilles 39 (modĂ©rĂ©ment)
  • Orange 29 (modĂ©rĂ©ment)
  • Figue sĂ©cher 24 (modĂ©rĂ©ment)
  • Dattes 24 (modĂ©rĂ©ment)
  • Avocats 19 (modĂ©rĂ©ment)
  • Olives 18 (modĂ©rĂ©ment)

Les mĂ©thodes les plus efficaces pour rĂ©duire  les oxalates sont : trempage, Ă©bullition, cuisson Ă  la vapeur.

Les personnes atteintes de certaines pathologies ou maladies chroniques doivent les consommer avec extrĂȘme modĂ©ration ou tout simplement les supprimer de leur alimentation.

Voir sur internet pour une liste de la teneur en oxalique des plantes.

L’histamine

L’histamine est une substance chimique créée dans le corps qui est libĂ©rĂ©e par les globules blancs dans la circulation sanguine.

Il y a trois raisons principales pour lesquelles votre corps pourrait ne pas ĂȘtre capable de gĂ©rer l’histamine:

  • Vous consommez trop d’histamine provenant de la nourriture
  • Vos enzymes amine DAO ne fonctionnent pas correctement.
  • Votre sĂ©crĂ©tion d’histamine est augmentĂ©e en cas de stress.

Les symptĂŽmes les plus courants associĂ©s Ă  une intoxication d’histamine sont :

  • ProblĂšmes de peau tels que dĂ©mangeaisons, Ă©ruptions cutanĂ©es et urticaire
  • Gonflement et inflammation
  • Pression artĂ©rielle faible ou haute
  • FrĂ©quence cardiaque rapide ou irrĂ©guliĂšre
  • SymptĂŽmes d’anxiĂ©tĂ© et de panique
  • Nez qui coule et congestion
  • Yeux rouges et larmoyants
  • Maux de tĂȘte et migraines
  • Fatigue et lĂ©thargie, mauvaise humeur
  • ProblĂšmes digestifs
  • DifficultĂ© Ă  rĂ©gularisĂ© la tempĂ©rature corporelle
  • Maladie de dĂ©gĂ©nĂ©rescence, sur le long terme

Aliments riches en histamine

  • Alcool (le vin rouge et la biĂšre est le pire)
  • Autres boissons fermentĂ©es (surtout kombucha)
  • LĂ©gumes fermentĂ©s (cornichons, choucroute, etc.)
  • Fruit de mer
  • Sardines
  • La plupart des fromages
  • Tous les vinaigre
  • Les viandes transformĂ©es comme la Bologne, le salami, le bacon etc.
  • Noix
  • Les lĂ©gumes de la famille des solanacĂ©es (tomates, patates, etc.)
  • Épinard
  • Avocat
  • Épices: cannelle, anis, piment, muscade, curry, cayenne, clou de girofle, gingembre, poivre
  • Porc et agneau
  • Germe des blĂ©s
  • LĂ©gumineuses
  • CafĂ©

Aliments qui dĂ©clenchent la libĂ©ration d’histamine

  • Alcool et autres boissons fermentĂ©es comme le kombucha
  • Les agrumes
  • Fraises et Framboise
  • Tomates
  • Bananes
  • Les produits laitiers
  • Chocolat
  • Fruits de mer
  • Colorants artificiels et conservateurs

Et ceux qui bloquent le DAO

  • Alcool et autres boissons fermentĂ©es
  • ThĂ© (principalement thĂ© vert et thĂ© noir)
  • Boissons gazeuses sucrĂ©es

Le zinc est nĂ©cessaire pour activer la vitamine B6, qui Ă  son tour soutient l’enzyme DAO dans la dĂ©gradation de l’histamine.

VOIR LE DOCUMENT : HISTAMINES, POUR TOUT LES DÉTAILS SUR L’HISTAMINE, SONT LIEN AVEC LE SYSTÈME IMMUNITAIRE ET SON LIEN AVEC LE CANCER ET QUOI FAIRE POUR RÉDUIRE LES HISTAMINES.

Les Lectines

Grains et CĂ©rĂ©ales :

Les lectines sont un type de protĂ©ine prĂ©sente dans de nombreuses plantes, en particulier dans les grains, cĂ©rĂ©ales et lĂ©gumineuses. Les lectines servent de mĂ©canisme de dĂ©fense pour les plantes. Elles peuvent perturber les processus digestifs des insectes et des animaux qui consomment ces matiĂšres vĂ©gĂ©tales, agissant ainsi comme un moyen de dissuasion. Les  lectines Ă  trop grande doses sont aussi toxiques pour les humains. En Asie, la coutume se veut Ă  manger du riz raffiner pour augmenter la digestibilitĂ© et diminuer l’apport en lectine intoxicante et irritante, par exemple.

Le gluten est une lectine trĂšs nĂ©faste que l’on retrouve beaucoup et de nos jours en grande quantitĂ© dans les grains et les cĂ©rĂ©ales. Le gluten a tellement brisĂ© le microbiote des gens dans les dernier 50 ans, dĂ©clencheur de plusieurs maladies inflammatoires et auto-immunes. Quelques grains ou cĂ©rĂ©ales sont dĂ©pourvu de gluten mais il reste quand mĂȘme qu’ils sont soit phytique ou oxalique ou autres et en plus trĂšs haut en carbs!

Les lectines de SolanacĂ©es / NightShades :

La famille des solanacĂ©es est composĂ©e de nombreuses plantes vĂ©nĂ©neuses comprenant entre 3 000 et 4 000 espĂšces, rĂ©parties en 90 genres aux morphologies variĂ©es : arbres, arbustes, lianes, herbes vivaces ou annuelles. Les solanacĂ©es qu’on nomme aussi les « NightShades » sont les pommes de terre, les tomates, les poivrons, le paprika, le, 
. mais aussi les piments de cayenne, les bleuets, les airelles, les baies de goji 
le tabac 
À celles-ci s’ajoutent des plantes officinales, toxiques, voire hallucinogĂšnes, que le folklore associe Ă  des histoires mythologiques et aux rituels de sorcellerie, telles que la belladone, la jusquiame, la stramoine et la mandragore.

Les glyco-alcaloĂŻdes sont un groupe de composĂ©s contenant de l’azote; ils sont naturellement prĂ©sents dans les solanacĂ©es.

Les glyco-alcaloïdes ont évolué dans certaines espÚces de plantes pour les protéger contre des prédateurs et des pathogÚnes comme les bactéries, les champignons, les virus, les insectes et les animaux.

Toxicité

DiffĂ©rentes espĂšces de plantes contiennent diffĂ©rents glyco-alcaloĂŻdes dont la toxicitĂ© varie pour les humains. Par exemple, les tomates contiennent deux glyco-alcaloĂŻdes, soit l’alpha-tomatine et le dĂ©hydrotomatine, tandis que la pomme de terre contient de l’alpha-chaconine et de l’alpha-solanine. Les glyco-alcaloĂŻdes prĂ©sents dans la pomme de terre sont plus toxiques que ceux que contiennent la tomate et son plant.

Lorsqu’ils sont consommĂ©s en hautes concentrations, les glyco-alcaloĂŻdes sont toxiques pour les humains. La population canadienne n’est que rarement exposĂ©e Ă  des concentrations de glyco-alcaloĂŻdes Ă  la source d’effets graves immĂ©diat sur la santĂ©. Cependant les gens consomment gĂ©nĂ©ralement trop de solanacĂ©e dans leur alimentation, patate et tomate, en particulier, qui fait augmenter dangereusement leur niveau d’intoxication.

La solanine, un composĂ© fortement toxique, il est l’un des glyco-alcaloĂŻdes contenue dans les solanacĂ©es.

La solanine n’est pas soluble dans l’eau, elle n’est dĂ©truite ni par la cuisson ni par l’organisme, elle doit ĂȘtre Ă©vacuĂ©e par l’organisme sous forme d’alpha-solanine, qui est classĂ©e comme une neurotoxine. Il est intĂ©ressant de savoir que la plupart des aliments qui contiennent des solanines contiennent aussi 5 autres neurotoxines au minimum (dont l’atropine et la nicotine).

Effet des solanacĂ©es sur la santĂ© :

Neurotoxicité

La solanine est rĂ©putĂ©e pour ĂȘtre un inhibiteur de l’acĂ©tylcholinestĂ©rase, un neurotransmetteur qui joue un rĂŽle important dans le systĂšme nerveux central.

Modification du métabolisme du calcium

Une consommation excessive de tomates et de patate affecte le mĂ©tabolisme du calcium d’oĂč ils peuvent retirer le calcium des os et le dĂ©poser dans les tissus mous et les articulations crĂ©ant de l’inflammation et entrainant des maladies comme l’arthrite, le lupus, les rhumatismes, gouttes, troubles musculosquelettiques et autres problĂšmes inflammatoires. Toutes inflammation non traitĂ©e apporte au long terme vers des maladies plus grave et dĂ©gĂ©nĂ©rative.

Inflammation du tractus-intestinale

Les glyco-alcaloĂŻdes irrite le tractus gastro-intestinal. Dans deux Ă©tudes distinctes sur des souris, les alcaloĂŻdes dans les pommes de terre se sont avĂ©rĂ©s avoir un effet nĂ©faste sur la permĂ©abilitĂ© intestinale et augmenter l’inflammation intestinale.

Les lectines et les alcaloĂŻdes sont considĂ©rĂ©s comme antinutritionnels. Pour certaines personnes, la consommation rĂ©guliĂšre peut causer des dommages importants Ă  l’intestin. Les dommages Ă  l’intestin sont considĂ©rĂ©s comme l’une des premiĂšres Ă©tapes du dĂ©veloppement de maladies auto-immunes.

Destruction des globules rouges

En effet, quand la solanine est absorbĂ©e dans la circulation sanguine, elle peut provoquer une destruction des globules rouges responsables du transport de l’oxygĂšne.

Allergies

Sachant que la permĂ©abilitĂ© intestinale provoque des allergies. Chez certaine personne, les solanacĂ©es vont jusqu’à causer des crises d’allergie immĂ©diatement aprĂšs leur consommation.

Maintenant que l’on connaĂźt tout cela, on pourra prendre des dĂ©cision Ă©clairĂ© au sujet de consommĂ© encore beaucoup de patates et tomates. Peut-ĂȘtre on pourrait diminuer desfois et trouvĂ© autres chose Ă  manger pour varier et diminuer notre apport en solanacĂ©e.

Les mĂ©thodes les plus efficaces pour rĂ©duire  les lectines sont : trempage, Ă©bullition, germination, fermentation.

Mycotoxines et Parasites

Mycotoxines (Myco = champignons) toxiques qui poussent sur les lĂ©gumes dans le champ ou pendant qu’ils ont conservĂ© au magasin. Les parasites sont des micro larves, des micro vers que on ne voit pas mais ils sont sur la pelure des lĂ©gumes et dans la viande. C’est pourquoi on veut lavĂ©e et dĂ©sinfecter les lĂ©gumes (mĂȘme les bio) et cuire la viande. On finit toujours par en consommer et ils viennent dans nos intestin et s’installe, grandissent et se reproduisent et dĂ©range notre bonne flore biotique. Il faut alors faire des cure de parasites temps en temps au courant de notre vie pour les Ă©liminer.  (voir document de dĂ©toxification pour une cure de parasites)

Anecdote de patates 

La patate possĂšde un indice glycĂ©mique (IG) trĂšs Ă©levĂ©, ce qui signifie que le glucose qu’elle contient se retrouvera rapidement dans votre sang.

1 patate = 3 cannes de liqueur !!!!

Dans un rĂ©cent documentaire de la BBC, « The Truth About Carbs », des scientifiques ont d’ailleurs montrĂ© que manger une grosse pomme de terre de 350 g cuite au four Ă©tait Ă©quivalent Ă  la consommation de
 19 morceaux de sucre !!! C’est presque trois fois plus qu’une canette de Coca-Cola, qui ne contient « que » 7 morceaux de sucre. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, mĂ©fiez-vous des fĂ©culents considĂ©rĂ©s – Ă  tort – comme des sucres lents : pain, pĂątes, riz blanc, etc. Ils ont tous un indice glycĂ©mique Ă©levĂ©.

Et les patates contiennent tellement de pesticide, herbicide et fongicide en plus ! Malo

Les tanins

Sont des composĂ©s naturellement prĂ©sents dans de nombreuses plantes, fruits et boissons comme le thĂ©, le cafĂ© et le vin. Ils appartiennent Ă  la classe des polyphĂ©nols et sont connus pour leur goĂ»t astringent. Bien que les tanins possĂšdent des propriĂ©tĂ©s bĂ©nĂ©fiques, comme des effets antioxydants, ils agissent comme des toxines dans certains contextes en raison de leur capacitĂ© Ă  se lier et Ă  prĂ©cipiter des protĂ©ines, des minĂ©raux et d’autres composĂ©s.

Les tanins peuvent se lier aux protĂ©ines alimentaires et aux enzymes digestives, rendant ces protĂ©ines moins disponibles pour l’absorption.

Les tanins peuvent se lier à des minéraux comme le fer, le zinc et le calcium, réduisant leur biodisponibilité et leur absorption.

Des niveaux élevés de tanins peuvent irriter la paroi gastro-intestinale

Certaines études suggÚrent que des doses élevées de tanins peuvent avoir des effets cytotoxiques, endommageant potentiellement les cellules ou les tissus.

Les tanins, comme d’autres polyphĂ©nols, peuvent perturber la fonction thyroĂŻdienne en interfĂ©rant avec l’absorption de l’iode ou en perturbant la synthĂšse des hormones thyroĂŻdiennes, en particulier lorsque l’apport en iode est dĂ©jĂ  faible.

Cuisson ou fermentation :

Certaines méthodes de cuisson ou de fermentation peuvent réduire la teneur en tanins des aliments et boissons, les rendant plus faciles à digérer.

Timing de consommation :

Évitez de consommer des aliments ou boissons riches en tanins avec les repas.

GoitrogĂšnes

Les goitrogĂšnes sont des substances prĂ©sentes dans certains aliments. Lorsqu’ils sont consommĂ©s en excĂšs, ils peuvent perturber le fonctionnement de la glande thyroĂŻde.

Les trois principaux types de goitrogĂšnes :

  • Goitrines
  • Thiocyanates
  • FlavonoĂŻdes

Les goitrines et les thiocyanates se forment lorsque les plantes sont endommagĂ©es, par exemple lorsqu’elles sont coupĂ©es ou mĂąchĂ©es. Les flavonoĂŻdes, bien qu’en gĂ©nĂ©ral considĂ©rĂ©s comme des antioxydants bĂ©nĂ©fiques, peuvent ĂȘtre transformĂ©s en composĂ©s goitrogĂšnes par les bactĂ©ries de notre intestin.

Bloque l’iode : Les goitrogĂšnes peuvent empĂȘcher l’iode d’entrer dans la glande thyroĂŻde, un Ă©lĂ©ment essentiel Ă  la production des hormones thyroĂŻdiennes.

InterfĂšre avec la TPO : L’enzyme thyroĂŻde peroxydase (TPO) attache l’iode Ă  l’acide aminĂ© tyrosine pour former les hormones thyroĂŻdiennes.

RĂ©duisent la TSH : Les goitrogĂšnes peuvent perturber l’hormone stimulante de la thyroĂŻde (TSH), qui aide la glande thyroĂŻde Ă  produire des hormones.

Lorsque la fonction thyroĂŻdienne est perturbĂ©e, la glande peut avoir du mal Ă  produire les hormones nĂ©cessaires pour rĂ©guler le mĂ©tabolisme. Ce qui n’est vraiment pas bon!

Ce sont la famille des choux (crucifĂšres), les pĂȘches, les amandes et le soya. Cependant, la cuisson dĂ©truit l’enzyme myrosinase responsable de la formation de goitrogĂšnes, rĂ©duisant ainsi leur concentration.

  • LĂ©gumes crucifĂšres: Bokchoy, Brocoli, Choux de Bruxelles, Chou, Chou-fleur, Raifort, Chou frisĂ©, Chou-rave, Feuilles de moutarde, Colza, Rutabagas, Épinards, Navets
  • Fruits et plantes riches en amidon : Par exemple : MaĂŻs, Haricots, Graines de lin, Millet, PĂȘches, Arachides, Amandes, Poires, Fraises, Patates douces
  • Produits Ă  base de soja

La durĂ©e pendant laquelle les goitrogĂšnes restent actifs dans le corps aprĂšs ingestion dĂ©pend du type de goitrogĂšnes, de la quantitĂ© consommĂ©e et des facteurs mĂ©taboliques individuels. Pour la plupart des personnes ayant une fonction thyroĂŻdienne saine et un apport adĂ©quat en iode, le corps traite et Ă©limine les goitrogĂšnes relativement rapidement, gĂ©nĂ©ralement en quelques heures Ă  quelques jours selon les habitudes alimentaires et l’Ă©tat de santĂ©.

Facteurs clés influençant la durée :

  1. Type de goitrogĂšnes : Certains, comme les thiocyanates, sont solubles dans l’eau et sont mĂ©tabolisĂ©s ou excrĂ©tĂ©s plus rapidement. D’autres, comme les isoflavones dans le soja, peuvent avoir une activitĂ© prolongĂ©e en raison d’un mĂ©tabolisme plus lent.
  2. Niveaux d’iode et de sĂ©lĂ©nium : Les personnes ayant des niveaux suffisants d’iode ou de sĂ©lĂ©nium peuvent contrer plus efficacement les effets goitrogĂšnes, minimisant leur persistance dans le corps.
  3. FrĂ©quence de consommation : Une consommation rĂ©guliĂšre d’aliments riches en goitrogĂšnes peut entraĂźner un effet cumulatif, mais une consommation ponctuelle a gĂ©nĂ©ralement des effets transitoires.

Dans la plupart des cas, les goitrogĂšnes ne s’accumulent pas Ă  long terme, et leurs effets diminuent aprĂšs qu’ils sont mĂ©tabolisĂ©s, Cependant, chez les personnes prĂ©sentant une carence en iode ou des problĂšmes thyroĂŻdiens prĂ©existants, leurs effets peuvent ĂȘtre plus prononcĂ©s et durer plus longtemps. Si on veut continuer Ă  manger beaucoup de ces aliments, on doit s’assurer de souvent les cuir et augmenter notre apport en iode et en sĂ©lĂ©nium. Les goitrogĂšnes ne posent gĂ©nĂ©ralement pas de problĂšme sauf lorsqu’ils sont consommĂ©s en excĂšs.

Les polyphénols

Les polyphĂ©nols des plantes ne sont pas toxiques dans l’absolue. En rĂ©alitĂ©, la majoritĂ© des polyphĂ©nols ont des effets bĂ©nĂ©fiques pour la santĂ© lorsqu’ils sont consommĂ©s en petites quantitĂ©s, comme celles prĂ©sentes dans un rĂ©gime alimentaire Ă©quilibrĂ© et variĂ©. Les polyphĂ©nols sont des composĂ©s bioactifs largement reconnus pour leurs propriĂ©tĂ©s antioxydantes, anti-inflammatoires, et mĂȘme anticancĂ©reuses.

Exemples de polyphénols bénéfiques :

  • FlavonoĂŻdes : PrĂ©sents dans les fruits, lĂ©gumes.
  • CatĂ©chines : TrouvĂ©es dans le thĂ© vert.
  • ResvĂ©ratrol : PrĂ©sent dans le raisin.
  • Acide ellagique : Dans les baies comme les framboises.

Mais lorsqu’ils sont isolĂ©s en supplĂ©ments concentrĂ©s, ils peuvent avoir des effets toxiques :

  1. Effet pro-oxydant : À des doses Ă©levĂ©es, certains polyphĂ©nols peuvent agir comme des pro-oxydants, augmentant le stress oxydatif au lieu de le rĂ©duire.
  2. Interaction avec les nutriments : Certains polyphĂ©nols, comme les tannins, peuvent rĂ©duire l’absorption de certains minĂ©raux (fer, zinc).
  3. Inhibition enzymatique : Par exemple, les polyphénols dans le thé vert peuvent inhiber des enzymes digestives.

L’autre problĂšme avec les polyphĂ©nols c’est oui il y a dans la plante des polyphĂ©nol bĂ©nĂ©fique en petit doses mais en mangeant par exemple des framboise pour leur polyphĂ©nols ont fini consommer trop d’acide oxalique, et en mangeant le raisin, on mange trop de sucre, en buvant du thĂ© on consomme des histamine et du fluor (car presque tous les thĂ© viennent de chine et tout les sol a thĂ© contiennent de haut taux de fluor. Ensuite pour les fruits je les trouve trop sucrĂ©s et augmente gravement notre consommation total journaliĂšre de carbs. Et de plus il reste plus grand fruit qui ne sont pas remplis de pesticide. Un autre important est le fluor dans le thĂ© vert que j’évite totalement. Je consomme de l’ail, des oignons, des laitues et du chou vert, bio et local pour mes sources de polyphĂ©nol de lĂ©gumes.

La Coumarine La coumarine est mĂ©tabolisĂ©e dans le foie, oĂč elle peut produire des sous-produits toxiques comme le 7-hydroxycoumarine. Une consommation chronique ou Ă©levĂ©e peut entraĂźner des dommages au foie, notamment des inflammations et, dans certains cas graves, une insuffisance hĂ©patique.

  • Une exposition excessive peut perturber la coagulation sanguine.
  • À des doses Ă©levĂ©es, la coumarine peut avoir des effets neurotoxiques.

Les agrumes, notamment le pamplemousse, les oranges et les citrons, contiennent naturellement des coumarines. Chez les agrumes, les coumarines sont particuliĂšrement concentrĂ©es dans la peau. Ces composĂ©s jouent un rĂŽle dans la dĂ©fense des plantes. Les coumarines prĂ©sentes dans les agrumes sont gĂ©nĂ©ralement en quantitĂ©s non nocives lorsqu’elles sont consommĂ©es dans le cadre d’une alimentation normale. Si vous consommez de grandes quantitĂ©s de peau d’agrumes (par exemple, du zeste ou des extraits), il peut ĂȘtre utile de prendre en compte leur teneur en coumarines.

Les phytostérols

Les phytostĂ©rols, c’est le cholestĂ©rols de plantes. Mais ce n’est pas du cholestĂ©rol d’humain et vu qu’ils se ressemblent au niveau molĂ©culaires, lorsque consommĂ© par les humains, les stĂ©rols de plantes prenne la place des vrais cholestĂ©rols! Provoquant une multitude grave problĂšmes. Le cholestĂ©rol est quasiment l’affaire la plus importante du corps humain! Ça prend du cholestĂ©rol partout. Chaque membrane de cellules contient du cholestĂ©rols et chaque glandes ont besoin de cholestĂ©rols pour construire leurs hormones, Les hormones c’est la base de la rĂ©gulation de tous les fonctionnement mĂ©tabolique d’un humain.

C’est pourquoi les humains ont Ă©voluer Ă  manger du gras saturĂ© animal pendant 5 000 000 d’annĂ©es et plus. Est c’est avec ces acides gras saturĂ©s que le corps peut construire des molĂ©cules de cholestĂ©rols. Et maintenant depuis 100 ans nous avons la bonne mauvaise idĂ©es de faire des huiles vĂ©gĂ©tales qui sont venu toute dĂ©mantibuler notre Ă©quilibre de cholestĂ©rols.

Les phytostérols de plantes bloquent les sites récepteurs spécifiques au vrai cholestérol humain! A ne pas consommer ou consommer trÚs peu!

On parle ici de :

  • Des huiles polyinsaturĂ©s a haut pourcentage en acide linolĂ©ique : soya, canola, mais, carthame, tournesol etc.
  • Les noix et les graines de tournesol et les graines de lin et chanvre en contiennent aussi pas mal.
  • Les haricots, les pois et les lentilles contiennent des phytostĂ©rols, bien qu’en quantitĂ©s gĂ©nĂ©ralement plus faibles que les noix ou les huiles.
  • Certains fruits et lĂ©gumes, y compris les avocats et le brocoli, contiennent de petites quantitĂ©s de phytostĂ©rols, mais leur contribution Ă  l’apport total est vraiment infĂ©rieure Ă  celle des huiles ou des graines.

Note le fun :

Les huiles de coco sont pauvres en phytostĂ©rols, bien qu’elles soient d’origine vĂ©gĂ©tale. Ces huiles sont plus saturĂ©es et ne contribuent pas de maniĂšre significative Ă  l’effet de remplacement du cholestĂ©rol. On pourrait aussi ajouter l’huile olive dans cette liste. Yes! Fiou!

Les phytoƓstrogĂšnes :

Les phytoƓstrogĂšnes sont des composĂ©s prĂ©sents dans plusieurs vĂ©gĂ©taux. C’est pas mal le mĂȘme problĂšme que les phytostĂ©rols.

La source la plus concentrĂ©e de phytoƓstrogĂšnes est le soya. Et de nos jour l’huile de soya est partout !! Les noix. Les lĂ©gumineuses. La graine de lin aussi en contient plus que d’autres vĂ©gĂ©taux. Le trĂšfle rouge. Sauge. Anis. C’est les isoflavones retrouvĂ© dans ces plantes.

Les hormones, telles les ƓstrogĂšnes, jouent un rĂŽle important de messager dans le corps. En circulant dans le fluide sanguin, chaque hormone est reconnue par un rĂ©cepteur spĂ©cifique qui se marie avec sa structure chimique, telle une clĂ© dans une serrure. Cette association permet Ă  l’hormone de passer son message.

Les phytoƓstrogĂšnes contiennent des principes molĂ©culaires qui imitent la structure chimique des estrogĂšnes humain. Comme les phytostĂ©rols le font avec le cholestĂ©rols.

C’est de cette façon que les phytoƓstrogĂšnes bloquent les sites rĂ©cepteurs spĂ©cifiques au vrai estrogĂšnes humain!

Note : De plus il faut tout d’abord savoir que la qualitĂ© du microbiote intestinal va jouer un rĂŽle important sur l’effet des phytoƓstrogĂšnes que le soya contient. Lorsqu’elle est en bonne santĂ©, notre flore intestinale transforme les phytoƓstrogĂšnes en Ă©quol, une molĂ©cule plus digeste qui ne passe plus pour une hormone. Lorsque les phyto-estrogĂšnes ne sont pas transformĂ©s en Ă©quol par les microbiotes qui en sont incapable ils viennent interfĂ©rer nĂ©gativement dans notre propre gestion hormonale habituellement. Les effets du soja sont ainsi dĂ©pendants de la capacitĂ© du microbiote Ă  transformer les phytoƓstrogĂšnes en Ă©quol, ce qui peut expliquer la disparitĂ© des effets constatĂ©s en fonction des personnes. Seulement 25 Ă  60% de la population abriterait les bactĂ©ries nĂ©cessaires Ă  la synthĂšse d’équol.

Les mĂ©dicaments oestrogĂ©niques dĂ©balance royalement les taux d’hormones normale.

Poivre Noir

  • Taux Ă©levĂ© d’oxalate
  • AmĂ©liore l’absorption de : B12, B6, Vit A, SĂ©lĂ©nium
  • Mauvais avec les mĂ©dicaments car ils font que les mĂ©dicament sont trop absorbĂ©
  • Inhibe l’absorption du fer non-hĂ©mique
  • Bloque la Glucoronidation

La Glucoronidation est un processus mĂ©tabolique dans lequel le corps dĂ©toxifie et Ă©limine des substances en attachant une molĂ©cule d’acide glucuronique Ă  un composĂ©. Ce processus se produit principalement dans le foie et constitue un Ă©lĂ©ment clĂ© de la dĂ©toxification de phase II. L’ajout d’acide glucuronique rend les substances plus solubles dans l’eau, leur permettant d’ĂȘtre excrĂ©tĂ©es par l’urine ou la bile.

On sait maintenant que les plantes produisent une variĂ©tĂ© de toxines comme mĂ©canismes de dĂ©fense naturels contre les herbivores, les pathogĂšnes ou le stress environnemental. Nous avons parlĂ© de quelques une les plus connues et certaine les plus nĂ©faste. Voici d’autre exemple :

AlcaloĂŻdes

ComposĂ©s contenant de l’azote qui affectent le systĂšme nerveux.

  • Nicotine (Tabac) : Stimule le systĂšme nerveux central.
  • Atropine (Belladone) : Provoque une dilatation des pupilles, une bouche sĂšche et une confusion.
  • CafĂ©ine (CafĂ©, ThĂ©) : Stimulant.
  • CocaĂŻne (Coca) : Psychotrope puissant.
  • Morphine (Pavot) : AnalgĂ©sique et narcotique puissant.

Glycosides

Produisent des composĂ©s toxiques (comme le cyanure) lorsqu’ils se dĂ©composent.

  • Amygdaline (Amandes amĂšres, Noyaux d’abricots) : Produit du cyanure.
  • Glycosides cardiaques (Digitale) : Affectent le fonctionnement du cƓur (ex. : dioxine).
  • Saponines (Saponaires) : Irritent le tube digestif.

Inhibiteurs de protéases

Bloquent les enzymes nécessaires à la digestion des protéines.

  • PrĂ©sents dans le soja, les pommes de terre et les lĂ©gumineuses.

AlcaloĂŻdes pyrrolizidiniques

Endommagent le foie et sont cancérigÚnes.

  • PrĂ©sents dans la consoude et la bourrache

Ricine (Ricin) : ExtrĂȘmement toxique, inhibe la synthĂšse des protĂ©ines. Une chance que l’huile de ricin ne contienne pas de ricine. Lors du processus d’extraction de l’huile, la ricine, qui est une protĂ©ine hydrosoluble et elle reste dans les rĂ©sidus solides. Cependant, il est essentiel d’utiliser uniquement de l’huile de ricin de qualitĂ© mĂ©dicale ou cosmĂ©tique, car elle a Ă©tĂ© traitĂ©e et purifiĂ©e pour garantir son innocuitĂ©.

Pesticide, herbicide et fongicide industrielle!

Fack lĂ  on ne se cacheras pas qu’en plus de tout ça les plantes sont arrosĂ©es de plein de produits chimique de tous bord tout cotĂ©. 22 pesticide sur les fraises, une 15aine sur les pomme, poire, prune, tous ce qui a des peau mince. Les avocat, les bananes, les mangues etc.  MĂȘme chose avec lĂ©gumes.

C’est vraiment à surveiller ces plantes-là !!!!